1. Nymphomane, moi ? Tome III (11)


    Datte: 27/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... était toujours sans consistance, il fallut se rendre à l’évidence, le désenvoûtement avait été un échec, nous reprîmes la route de Brazzaville.
    
    — Eh bien, tu as vu, tu avais raison d’être sceptique, le désenvoûtement n’a pas fonctionné. A voir le sorcier te baiser ainsi, cela aurait dû faire bander Ephraïm, autant que moi, mais ses incantations ont fait chou blanc ! Le marabout m’a indiqué un autre moyen. Il y a peut-être un remède, une potion. Enfin, je vais voir !
    
    Le lendemain avec Dumortier, nous partîmes rejoindre le camp. Trois jours plus tard, un jour entier de navigation compris, sur une rivière au cœur de la jungle, nous arrivâmes au débarcadère qui permit d’accéder à la zone de travail. On fut accueilli sur le quai par un noir à la carrure impressionnante, qui nous conduisit à travers la jungle jusqu’au campement. J’eus un hoquet, c’était vraiment une esquisse de cantonnement. Le camp se composait de paillotes plus ou moins grandes. L’électricité fournie par des groupes électrogènes.
    
    Il y avait maintenant huit jours que j’étais ici. J’étais arrivée au Congo avec des chemises résistantes, des pantalons longs que je pensais indispensables. Mais ces vêtements se sont vite avérés complètement inadaptés à la chaleur et à l’humidité étouffante et sont rapidement devenus humides. Sous la pluie presque constante, chaque chose était mouillée et restait spongieuse.
    
    J’ai vite adopté les chemises légères et les shorts que le professeur Dumortier fit venir de ...
    ... Brazzaville.
    
    J’abandonnai vite le port de mon soutien-gorge, et même de mon string. En revanche, la plupart des travailleurs noirs locaux ne portaient que des pantalons assez fins, et la pluie moulait le tissu sur leur bas-ventre. Il s’avéra que pour moi, c’était une distraction quotidienne, d’admirer leurs corps musclés et durs pendant qu’ils travaillaient. D’accord, admirer n’est pas un mot juste. Cela avait peut-être du sens, les premiers jours, mais maintenant au bout d’une dizaine de jours, le mot convoitise était probablement plus approprié.
    
    Être entouré toute la journée par des hommes à moitié nus, au corps ciselé, l’humidité faisant coller le tissu aux parties génitales, cela conduit aux fantasmes inévitables. Je m’imaginais souvent en train de travailler les seins nus, la douce pluie ruisselante, coulant sur ma poitrine tendue, chaque bouffée de brise rafraîchissante chatouillant mes mamelons durcis tandis que je travaillais assidûment sous le regard des travailleurs indigènes. Je me voyais ensuite enlevée par ces ouvriers aux corps musclés, qui déchiraient et ôtaient mon short. Il me semblait que tous les jours, je finissais par avoir les culottes mouillées, et pas seulement par les conditions environnementales naturelles. J’étais constamment en état d’excitation. Je me demandais, étant la seule femme, si le cuisinier ne mettait pas une quelconque drogue aphrodisiaque dans ma nourriture.
    
    J’étais sûre que le professeur Dumortier n’aurait pas été très heureux s’il ...
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