1. Nymphomane, moi ? Tome III (11)


    Datte: 27/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... me donner une jouissance démentielle.
    
    Je gémis, haletante et tremblante. Je rêvai que des ouvriers imaginaires étaient autour de moi et me regardaient attendant leur tour, pour tous me baiser. Mon corps se balançait jusqu’à la poussée pénétrante d’un gros sexe noir et j’appréciai avidement chacune de leurs bites qui m’entouraient énormes et raides en prévision du travail qu’elles allaient faire dans ma chatte.
    
    Après ma jouissance, je m’écroulais épuisée sur le matelas, trempée de sueur et de foutre et dérivai dans un sommeil érotique rempli de rêves plus salaces les uns que les autres.
    
    Ces activités nocturnes me fatiguèrent et je me réveillais de plus en plus lasse chaque matin. Malgré mon épuisement, je m’éveillais avec un désir palpitant de sexe, mais je devais être active immédiatement, sauter hors du lit, m’habiller et sortir pour le petit-déjeuner.
    
    Je savais que si j’essayais de m’allonger, je replongeais dans les bras de Morphée, mais mon esprit me trahissait, et mon corps voulait être assouvi à tout prix.
    
    J’étais consciente que je devais me faire baiser, et me faire baiser bientôt. Je n’allais pas pouvoir tenir jusqu’à la fin de mon contrat et de mon retour à la maison. J’espérai ardemment la visite de N’Doumbé et de sa grosse bite.
    
    Monsieur Dumortier se dirigea vers moi. Ma chemise était ouverte sur mes seins, et mes tétons se dessinaient en transparence sous le mince tissu.
    
    — Ca va Trixie, en forme... Vous me semblez distraite ! Est-ce que ...
    ... cette chaleur vous accable ? Dit-il fixant ma poitrine dénudée.
    
    — Non monsieur, je suis juste un peu fatiguée, je n’ai pas bien dormi la nuit dernière, mais ça ira.
    
    — Je vais dans le lot 67 alors, mais prends bien soin de toi.
    
    Je pense qu’il s’inquiétait pour moi. Il a regardé avec attention mes seins se dessinant sous ma chemise et puis il opina de la tête. Mes yeux se portèrent sur son bas-ventre, une légère bosse déformait son short.
    
    — C’est bien ce qui s’est passé hier soir, je m’occupe bien de moi tous les jours, pensai-je en souriant.
    
    Le pharmacien tourna les talons, pour réorganiser le travail d’un groupe qui apparemment avait pris du bon temps en me regardant. Décidément, j’étais une grande salope. Si le professeur Dumortier eut été plus attentif, il aurait vu que c’était moi qui les distrayais, ou plutôt que c’était moi qui les excitais, ce qui ne devait pas faire avancer bien vite leur travail.
    
    Mais maintenant, je ne pouvais plus m’en empêcher. Je savais que les travailleurs noirs me désiraient et je me montrais de plus en plus dévêtue, autant que possible !
    
    Je me penchai pour offrir le spectacle mon cul, ou laissai par inadvertance ma chemise s’ouvrir et exhiber un sein ou parfois les deux. J’étais une putain terriblement excitée. Ces petits jeux me faisaient mouiller comme une folle. En regardant les gars, je fus prête à me laisser baiser sur-le-champ. Et lorsque je suis rentrée au camp aujourd’hui, j’étais tellement excitée qu’il fallait faire ...
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