Arrêt obligatoire sur le retour des vacances (1)
Datte: 25/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Dirty.Roll, Source: Xstory
... réalisé que j’avais une vision totale de ton corps éclairé par le feu dans la position dans laquelle tu es car tu gardes les yeux dirigés vers mon sexe... que tu ne peux malheureusement pas bien voir. Je te regarde aussi, et je vois qu’une de tes mains a très lentement et silencieusement rejoint ton sexe. Et, je n’en suis pas absolument certain, mais j’ai l’impression que tes doigts le caressent lentement. Le mouvement est presque imperceptible. Et totalement silencieux. Seul le craquement du feu vient rompre le silence, de temps à autre.
Mon cœur bat à tout rompre. Je sens mon corps trembler d’excitation. Je ne peux pas parler sinon tu t’en apercevrais immédiatement. Je ne dois pas provoquer quoique ce soit, tu es ma belle-sœur. C’est interdit, ce n’est pas possible. J’essaie de chasser mes pensées, de détourner mon regard.
Et, je ne sais pas ce qui me prend, mais je me décale un peu. Un tout petit peu. Juste de quoi laisser la lumière du feu éclairer mon entrejambe. Pas beaucoup, juste un peu, pour que tu vois à peine. J’ai l’impression que ton regard se fait plus intense, et que tu fais plus qu’imaginer ma queue dressée maintenant. Et, j’en suis sûr maintenant, tes doigts caressent doucement ton sexe... ta jolie chatte. Tu te masturbes devant moi ! Je n’en reviens pas.
Et d’un coup, tu réalises ! Si tu vois mon pieu dressé à la lumière du feu, c’est que j’ai une vision intégrale de ton corps ! Tu te couvres les seins et le sexe et tu dis:
— Mais mon Dieu, tu me ...
... vois ?!
Je ne réponds pas tout de suite. Tu me lances, d’un air paniqué :
— Réponds-moi !
J’articule un "Oui". Et j’ajoute :
— Tu es vraiment très belle.
— Je... Je ne sais pas quoi dire... me dis-tu.
— Eh bien ne dis rien. Et tu sais, ça ne sert à rien de te cacher, je t’ai déjà vu.
Après quelques instants, comme si tu avais réfléchi, tes bras se détendent, et retombent le long de ton corps. Mais tu ne reprends pas ta masturbation, gênée.
Un peu déçu, j’ose :
— Tu peux continuer si tu veux... C’était beau.
— Tu as vu ça aussi ? me réponds-tu.
Je suis sûr que tu es rouge de honte. Mais tu ajoutes :
— Je sais pas... je devrais pas.
Tu bouges doucement ta main, posée sur ta jambe, tu hésites. Et tu me dis :
— OK, mais pas toute seule, j’aurais trop honte... Je... Tu... Tu te caresses aussi... et je veux te voir mieux... tu es d’accord ?
Je suis tellement excité, que je ne réponds même pas, mais je me déplace simplement à côté de toi, pour être bien éclairé par le feu, et je prends ma bite en main.
— Ah, mais tu me voyais aussi bien que ça ?! Je comprends pourquoi tu bandes comme ça ! t’exclames-tu.
— Je crois que tu es la vision la plus excitante de toute ma vie ! dis-je en rigolant nerveusement.
Tu n’hésites plus, et ta main vient se coller à ta chatte. Elle est luisante de mouille. Tu as le regards fixé sur ma queue, et ta main s’agite cette fois-ci tout à fait distinctement sur ton sexe. J’ai trop envie de me branler, et ...