1. Arrêt obligatoire sur le retour des vacances (1)


    Datte: 25/02/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Dirty.Roll, Source: Xstory

    ... paquets de biscuits que je pose sur le lit. Vu la taille de la pièce, cela nous fera notre coin repas.
    
    Je m’assois sur le lit. Le poêle fonctionne vraiment bien, il fait chaud dans la chambre. J’ouvre un paquet et commence à grignoter.
    
    Tu me rejoins et t’assois en face de moi. Je pense que tu n’as pas remarqué, mais je suis dos au feu, alors que toi, tu y fais face. Dans cette position, et avec mes yeux qui se sont habitués à la pénombre, je te vois distinctement. Je vois ton corps. Ce merveilleux corps que je n’avais encore jamais observé dans ce détail. Tu commences à grignoter toi aussi, et je te sens mieux. Enjouée même car tu commences à parler. De plus en plus. Je te rejoins dans cette discussion, et nous commençons à rire et prendre conscience de ce que nous venons de vivre. Nous venons d’échapper à une situation dangereuse, et nous sommes dans une situation un peu folle.
    
    Te voir ainsi détendue et rieuse me permet aussi de me relâcher. Je vois tes seins qui rebondissent légèrement quand tu rigoles. Et, dans certains mouvements, j’ai une vue plongeante sur ton sexe parfaitement entretenu. Une fine bande de poils remonte sur ton pubis. Je vois ta taille étroite descendre sur des hanches plus larges. Je ne peux contenir une érection qui se fait de plus en plus soutenue. Par chance, ma position par rapport au feu fait que mon sexe dressé reste à l’abri de ton regard, et je n’essaie pas de le cacher.
    
    Soudain, c’est comme un éclair, l’électricité revient ! Pas ...
    ... très longtemps, une minute à peine, mais suffisamment longtemps pour que je te vois, le regard fixé sur mon entrejambe, la bouche ouverte d’étonnement devant l’énorme érection qui se dresse devant toi. Et moi, surpris par ce flash soudain, je n’ai pas l’idée un seul instant de la couvrir. Tu ne parles plus, et la pénombre est revenue, le courant étant cette fois-ci coupé pour de bon. Je n’ose dire un mot, bien trop embarrassé par la situation. Et contrairement à ce que j’aurais pensé, au lieu de rétrécir, j’ai l’impression que mon sexe prend encore de l’ampleur, à m’en faire mal. Il règne dans l’atmosphère une tension sexuelle que je n’avais jamais connu avant. Ton corps est encore éclairé par le feu... assise les jambes ouvertes, tes mains posées sur les cuisses, tu n’as pas bougé.
    
    Au bout de presque 10 minutes au cours desquelles je ne sais pas quoi dire ou faire, c’est toi qui brise le silence :
    
    — C’est pour moi tout ça ?
    
    Je ne sais que répondre, mais je finis quand même par dire un petit "Oui..."
    
    Et là, tu me demandes directement :
    
    — Mais elle est énorme ! Elle mesure combien ?
    
    — Heu, je ne sais pas vraiment... 20 centimètres je crois.
    
    Et, ça sort tout seul de ta bouche, tu dis:
    
    — Putain, j’en ai jamais vu une aussi grosse !
    
    Et immédiatement, tu bafouilles :
    
    — Pardon, excuse moi, je suis désolé... je n’aurais pas dû dire ça.
    
    — Non, ça va. Et merci en fait, même...
    
    Le silence s’installe de nouveau. Je remarque que tu n’as toujours pas ...
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