Arrêt obligatoire sur le retour des vacances (1)
Datte: 25/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Dirty.Roll, Source: Xstory
... je commence les mouvements de va-et-vient. Ce moment est tellement érotique ! Je te vois te caresser les seins de ta main libre, et je t’entends lâcher un soupir. "Aaahh". J’entends aussi un léger clapotis, confirmation que ta chatte est trempée. Je te vois même y insérer un doigt.
Je lâche :
— Ophélie, j’ai mal au sexe tellement je bande fort pour toi.
Je me branle de plus en plus vite, et tu t’allonges légèrement pour que tes doigts entrent plus profondément en toi. J’entends clairement ta respiration qui s’accélère. La mienne aussi. Tu laisses échapper de petits gémissements, et même un :
— ahh, c’est trop bon.
Soudain, je ne tiens plus, et d’un mouvement, je place ma tête entre tes jambes. Surprise, tu retires ta main et te soulèves un peu. J’en profite pour t’attirer vers moi et coller ton sexe à ma bouche. Tu t’exclames :
— Non !... Ah oui, si en fait, vas-y c’est trop bon... ahh.
Ophélie, tu n’es plus ma petite belle sœur. Tu es une jeune femme magnifique qui a soif de sexe. Et je ne suis plus qu’un homme qui a le sexe en feu, près à tout pour faire jouir son amante.
Ton sexe dégouline de mouille. Je t’aspire le clitoris que je sens gonflé d’excitation. A l’aide de mes mains, j’écarte doucement tes lèvres vaginales pour insérer ma langue dans ton antre. Je te sens qui respire de plus en plus fort. J’en profite pour insérer deux doigts pour te caresser l’intérieur du vagin pendant que ma langue continue de caresser ton clitoris. Tu ne respires ...
... plus, tu gémis. J’ai envie de t’entendre jouir.
J’accélère le mouvement de mes doigts dans ton vagin. Tu ouvres encore plus les jambes, comme pour me faciliter l’accès au plus profond de ton intimité. Je sens que tu commences à trembler. Je te bouffe alors littéralement la chatte, en bougeant ma tête de gauche à droite pour augmenter encore la stimulation de ton clitoris. Et c’est à ce moment-là que tu lâches un gémissement plus fort que les autres, presque un cri. Je sens ton corps se raidir, et tes jambes alors grandes écartées venir me serrer le visage. C’est dans un tremblement que tu gémis un "Oh putain !". Et tu te relâches, tu t’écroules même, d’un coup, en un souffle.
J’arrête alors de bouger, la tête bloquée entre tes cuisses, la bouche toujours collée à ta chatte... Qui est absolument trempée.
Nous restons comme ça pendant quelques minutes, sans rien dire. Je profite de ton parfum absolument enivrant. J’ai toujours aimé ce parfum. Ton parfum à toi... lorsqu’il m’était arrivé de me saisir d’une culotte dans le panier de linge sale pendant les vacances, et de découvrir à quel point tu sens bon. Puis, après un moment, je ressors ma langue, pour te faire une douce caresse sur le clitoris que j’ai toujours devant moi. Vas-tu me repousser ? Car souvent, après un tel orgasme, le clitoris reste très sensible. Au contraire, tu écartes légèrement les jambes, pour me laisser plus de liberté de mouvement et tu dis :
— Humm oui, encore.
Puis, juste ensuite :
— ...