Arrêt obligatoire sur le retour des vacances (1)
Datte: 25/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Dirty.Roll, Source: Xstory
... après ce que nous venons de vivre. Je reste longtemps à profiter de cette chaleur quand soudain tout devient noir ! Il faut croire que le réseau électrique vient de rendre l’âme ! Je sors à tâtons de la douche pour trouver une serviette. Encore plus petite que celle que tu avais. Je me demande comment les gens ici font pour se sécher. En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’elle ne tiendra pas autour de ma taille. Pendant que j’essaie de placer ma serviette du mieux possible, je te demande :
— Tout va bien Ophélie ?
— Oui, mais on a un problème ! me réponds-tu alors.
Je sors alors de la salle de bain, pour te retrouver dans la chambre baignée de la faible lueur du poêle en me demandant bien de quel problème il s’agit.- Je n’ai absolument rien à me mettre, mes affaires sont coincées dans la voiture ! Tout est trempé ! Et en plus, on n’y voit rien !!! Et j’ai froid avec cette serviette trempée. J’ai envie de pleurer...
En effet, je n’y avais pas pensé jusque-là, mais avec la voiture qui refuse de s’ouvrir et nos vêtements trempés, et bien nous sommes nus comme des vers. Je m’approche de toi pour te prendre dans mes bras pour te rassurer... mais le contact de nos serviettes toutes mouillées n’est pas des plus agréables, et ça n’a pas l’air de te rendre le sourire.
Je prends alors mon courage à deux mains, et je dis d’un ton que je veux joyeux :
— Ca tombe bien, j’ai toujours rêvé de faire une soirée naturiste au coin du feu.
Et joignant le geste à la parole, ...
... je laisse tomber ma serviette au sol. J’ajoute :
— Tu devrais faire pareil, le feu va te réchauffer. Et en plus il fait noir, je ne verrai rien.
Je te sens interloqué, ou en tout cas, c’est mon impression car je ne distingue pas très bien ton visage dans cette pénombre. Je me tourne vers le feu, et presque immédiatement, j’entends le bruit d’un tissu qui tombe au sol. Te voilà nue à côté de moi. Car, d’un regard furtif, j’ai cru voir que ton string avait disparu lui-aussi.
Nous restons un moment là, debout devant le feu, sans rien dire, à profiter de cette douce chaleur. Sans oser diriger trop souvent un regard sur ton corps, j’aperçois tout de même tes formes éclairées par la lumière des flammes. Et quelles formes ! Je distingue ta jeune poitrine avec des seins de bonne taille qui pointent, ton ventre plat, tes hanches, tes fesses parfaitement rebondies, ton cou fin... J’essaie de retenir mes pensées, car je sens un échauffement de plus en plus marqué au niveau de mon bas-ventre. Mon sexe a pris un peu de volume, et j’essaie de me contenir.
Dehors, les éléments sont déchaînés.
C’est moi qui brise le silence le premier.
— Je commence à avoir faim. J’ai vu que tu avais pris le sac de provisions avec nous, quelle bonne initiative !
Après quelques instants, comme si tu sortais d’une rêverie, tu me dis :
— Oui, bonne idée. Et quelques instants plus tard, tu poursuis :
— Je vais étendre nos affaires. Elles seront peut-être sèches demain.
Je sors deux ...