Un si bel été, et ses suites (9)
Datte: 24/02/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Janus04, Source: Hds
... même pour venir me branler afin d’affermir mon érection. Elle empoigne énergiquement ma verge et l’agite sans état d’âme comme elle le ferait d’une machine à remettre en marche. La seconde fois je m’aventure à glisser moi aussi la main entre ses cuisses. Les poils sont doux, soyeux ; la vulve est chaude et légèrement humide sous ma paume. Stoyanka ne réagit pas à ma caresse, ne semble même pas s’en apercevoir et retourne à son dessin.
Je ne sais pas exactement combien de temps a duré cette séance de pose. Je lutte contre les crampes. Enfin Stoyanka pousse un soupir, jette son crayon et s’&tire, bras et jambes écartés.
« Le travail est terminé aujourd’hui. C’était bien, non. »
Elle s’est levé et sans autre forme de procès elle vient sur moi, pose les genoux sur le divan, de part et d’autre de mes cuisses, et me chevauche. Son regard s’est adouci, elle me sourit et m’embrasse. Sa langue s’enlace à la mienne. Je saisis un des volumineux tétons et le malaxe. Elle recule légèrement et me le présente. Je le suçote, le tète avidement. Ses fesses pèsent sur mes cuisses, mon sexe est raide, écrasé contre son ventre. Stoyanka se redresse un peu, le prend et le présente à l’entrée de sa chatte, redescend pour le faire pénétrer en elle. C’est elle qui ...
... impose le rythme du va-et-vient, nos respirations accélèrent à l’unisson, nos halètements se conjuguent jusqu’à son orgasme tandis que mon foutre inonde son vagin. Elle se laisse aller contre moi comme une poupée de chiffon, puis se dresse soudain : « Demain je commence le tableau, toi il faut venir, skùpa. »
Je comprends qu’il ne s’agit pas d’une invitation, mais plutôt d’une convocation. Par chance je suis au début des congés de Toussaint. Les jours qui suivent, les séances s’enchaînent, toujours selon le même programme. Quand Stoyanka considère qu’elle a assez travaillé, elle vient me chevaucher et nous faisons l’amour.
Je ne découvre mon portrait que lorsqu’elle le considère terminé. J’avoue que cela me trouble de me voir ainsi représenté, nu, en pleine érection, de façon très réaliste. Et parfaitement reconnaissable, même avec des pattes d’animal.
« Tu as été un très bon modèle. Merci, skùpa. »
Je suis passé voir ma tante Julie pour lui reprocher le piège qu’elle m’avait tendu. Elle a ri :
« Ça n’a pas dû être trop désagréable, je pense !
-C’est vrai. Mais dis-moi, tu sais ce que ça veut dire, ce nom qu’elle nous donne sans cesse ?
-Ah, skùpa ? Ça veut dire mon chéri, quelque chose comme ça. Elle dit ça à tout le monde ! »