Série insolite. Épisode 8 : « Aurélien ». La vengeance est un plat qui se baise froid.
Datte: 23/02/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... samedi. M’avançais-je avec une idée derrière la tête.
Comme je l’avais pensé, Émilie savait être très convaincante avec les garçons, elle se plaqua à moi en me prenant par le cou. Après m’avoir déposé un baiser sur mes lèvres, elle se pencha à mon oreille :
— Allez ! Soit gentil Aurel ! Me souffla-t-elle d’un ton lascif.
je fus surpris qu’elle connaisse mon diminutif, il n’y avait que mes amis qui me nommait ainsi. Je persistai encore un peu afin de connaitre les vraies raisons de sa venue.
— Non vraiment ! J’ai trop de boulot et j’ai le bac à réviser.
Émilie ne répondit pas mais m’enlaça et me roula carrément une pelle, ses mains baladeuses se retrouvaient sur mes fesses. J’étais fou, je l’enserrai dans mes bras, lui caressait le dos et les hanches tout en offrant ma langue. À la fin du baiser, je me décidai enfin :
— Pourquoi es-tu venue Émilie ?
— C’est ton pote Thomas, il m’a dit ce matin que tu aimerais bien sortir avec moi, depuis longtemps déjà.
— Et toi, tu veux profiter de moi ?
— Non pas du tout ! je te jure, moi aussi, je le voudrais bien. C’est vrai au début je te trouvais trop jeune mais depuis…
Elle me reprit dans ses bras et m’embrassa passionnément, le baiser n’était pas feint, nous semblions amoureux. Je lui expliquai que je devais finir mon travail et que je m’occuperais de son scooter avant de manger, je lui donnai rencart pour 21 heures ici à l’atelier. Elle accepta tout de suite et nous nous retrouvions une nouvelle fois les ...
... lèvres soudés jusqu’à son départ. J’étais déjà excité à la pensée que j’allais me retrouver dans quelques heures avec elle, cela me mettait dans un tel état que j’eus des difficultés à penser à mon travail.
J’avais bossé jusqu’à 20 heures sans interruption, j’étais allé chez moi pour grignoter un morceau, m’étais douché et j’étais revenus pour l’heure du rendez-vous. Émilie était splendide et super sexy, dans sa mini-jupe rouge, et son débardeur blanc avec un décolleté impressionnant. Nous nous étions installés dans le vieux canapé du bureau où nous étions restés une très grande partie de la nuit. Tout ce qu’on colportait à son sujet était totalement faux. Émilie aimait recevoir les caresses manuelles et buccales, savait aussi rendre la pareille avec ses mains et sa bouche mais elle était loin d’être une experte, elle appréciait beaucoup jouir en se faisant masturber et donner du plaisir au garçon en retour.
Elle m’avoua qu’elle avait perdu son pucelage dès l’âge de 15 ans en vacances avec un type de 24 ans et qu’elle en gardait un très mauvais souvenir. Comme elle ne fut pas très discrète en le répétant à ses amies, sa réputation de « Marie couche-toi-là » fut faite ainsi, autour d’elle. Néanmoins, elle n’avait jamais renouvelé l’expérience, elle sortait avec des garçons mais cela n’allait jamais jusqu’à la pénétration. J’étais donc le premier depuis quatre ans et elle en était heureuse. Quant à moi, en deux ans j’avais progressé car je connus de nombreuses aventures ...