Série insolite. Épisode 8 : « Aurélien ». La vengeance est un plat qui se baise froid.
Datte: 23/02/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Je m’appelle Aurélien, je suis né en 1972. Je n’ai jamais connu mon père, il avait abandonné femme et enfant, dès ma naissance. À l’âge de neuf ans, après le décès de ma mère suite à un cancer, je fus recueilli par mes grands-parents maternels, résidents dans une commune de la banlieue de Nancy. Là-bas je ne connaissais personne, mais très vite j’ai eu quelques copains et copines. Cependant, je fus très vite amoureux de la fille du maire que je ne voyais qu’à la messe car elle allait dans une école privée. Émilie avait deux ans de plus que moi, mais à l’époque, je m’étais toujours dit dans ma tête que je me marierais avec elle.
Les années avaient passées, dès le début de mon adolescence, j’avais une passion, la mécanique. Très jeune, je bricolais déjà mon vélo ou ceux de mes amis. À 14 ans, lorsque je pus enfourcher ma première mobylette, je réparais toutes les deux roues du quartier et même de la commune, dans un hangar le long du canal, en centre-ville, que mon grand-père me prêtait. Ce fut à partir de là, que je commençai à avoir une deuxième passion, les filles. Étant assez beau garçon, les mercredis après-midi et les week-end, c’était le défilé dans mon antre. Certaines jeunes filles venaient spécialement me voir pour que je puisse, soi-disant réparer leurs mobylettes et scooters, c’était une bonne excuse pour flirter, dans cet atelier et notamment dans l’ancien bureau attenant.
Ce fut ici que ma vie sexuelle avait commencé, au fur et à mesure que le temps passait ...
... et l’âge avançait, je connus avec mes petites copines, mes premières fois : baisers avec la langue, attouchements, cunnilingus, branlettes et fellations, cependant j’étais encore puceau. À 16 ? ans, je faisais plus que mon âge, j’étais grand avec mes 1,85 mètres, assez svelte mais musclé. Avec les yeux verts et ma chevelure châtain foncé, mi longue et bouclée, je sortais avec de nombreuses filles de la commune ou du lycée. Ce fut pendant les vacances de pâques que je connus ma véritable première relation sexuelle.
Pour l’avoir déjà surprise en train de rouler une pelle à un voisin en sortant de chez lui à plusieurs reprises, je savais que la factrice trompait son mari. Josiane n’était pas un canon, c’était une femme ordinaire de 26 ans, néanmoins, elle n’était pas mal foutue. Nous nous connaissions car je la voyais tous les jours. Ce matin-là, elle avait fini sa tournée, j’étais seul dans l’atelier lorsqu’elle me demanda gentiment si je pouvais réparer la crevaison de la roue de son vélo. J’abandonnai immédiatement ce que j’étais en train de faire pour lui rendre ce service. Je n’en avais pas eu pour longtemps et quand le travail fut terminé, elle me demanda d’aller aux toilettes, je l’avais accompagné et pendant qu’elle faisait ses besoins, je m’étais lavé les mains. Lorsque nous sommes sortis des sanitaires, elle demanda combien elle me devait :
— C’est bon Josiane ! tu sais, tu peux me payer en nature. Lui répondis-je pour blaguer.
Je ne sais pas pourquoi je lui ...