Trois jours surréalistes
Datte: 21/02/2022,
Catégories:
fh,
extracon,
candaul,
hotel,
caférestau,
jalousie,
dispute,
reconcil,
cérébral,
Oral
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: L'artiste, Source: Revebebe
... retourne, retrousse sa jupe, fais glisser l’étoffe de soie aux genoux, puis lui impose une cambrure indécente proposant au mieux son sexe entrouvert à mon regard.
— Éric, que fais-tu ?
— J’ai envie de toi, maintenant, alors je me sers !
La voilà accoudée au mur, le string aux chevilles et la croupe à l’air, offerte. La roseur de sa fleur contraste avec la blancheur de ses fesses et cela m’émeut. Ne pouvant m’empêcher de bloquer mon regard sur ce fameux grain de beauté, le désir de l’insulter me prend. Je l’estime trop malgré tout pour oser lui manquer de respect, elle semble si fragile que je n’arrive pas à m’y résoudre… au contraire, m’agenouillant, j’embrasse finalement tendrement son adorable petit cul. Comment la punir ? Je ne peux que l’aimer.
Dégrafant mon pantalon pour me palucher un instant, la rage me regagne ainsi que cet affreux sentiment de colère. D’un ferme coup de reins, franc et puissant, je m’introduis sans égard en soutirant néanmoins à mon Judas un râle de plaisir.
Je ne peux m’empêcher de mater mon pieu aller et venir en imaginant que celui d’Apollo a certainement connu les mêmes égards… Je ne débande pas pour autant et mon désir devient violent.
— Tu n’as encore rien vu, salope ! Puisque tu aimes la queue, en veux-tu, en voilà… !
J’accentue alors la puissance de mon assaut et augmente le rythme de notre étreinte, donnant toujours plus d’intensité à notre accouplement jusqu’à l’explosion apaisant les rancunes, mais exacerbant la ...
... culpabilité.
Natacha, quant à elle, demeure immobile, interdite, la croupe tendue. Sans réaction un moment, elle finit par se redresser, se réajuste et me dit d’un air coquin :
— Eh bien, quelle vigueur, mon chéri ! Je ne te connaissais pas pareille fougue. Tu aurais quand même pu éviter le « salope », je ne pense pas que cela était vraiment nécessaire.
Ne me sentant pas vraiment fier de m’être emporté de la sorte, je tente donc de me dédouaner.
— Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris !
— Ne t’inquiète pas… c’est surprenant, mais pas dramatique. Et puis, cela ne me déplaît pas tant que ça de devenir de temps en temps ta « petite salope ». Si je dois avoir une raison d’être en colère, ce serait plutôt de m’avoir laissée en plan… J’aurais bien aimé prendre aussi mon pied, maintenant, me voilà frustrée !
Et c’est vrai que ça n’avait pas traîné… Je m’étais vidé égoïstement et n’avais eu comme seul objectif que de me libérer, une fois de plus, de tout le stress accumulé depuis le début de la journée.
— Je me rattraperai demain, ma belle… ! Passons à table, ça sent trop bon et je meurs de faim.
Notre partie de jambes en l’air a malgré tout refroidi un peu l’ambiance. En dépit d’un silence pesant durant le repas, nous rejoignons le canapé et comme à l’accoutumée, regardons le plus naturellement du monde notre série du soir. À l’issue de la séance de massage de pieds qui s’impose, nous allons nous coucher…, et voilà Natacha qui s’endort sur mon épaule.
Me ...