-
Le temps des olives
Datte: 18/02/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... mari, brutal et irrémédiable a mis fin à une vie conjugale sinon riche, du moins viable. Et les frissons qui lui parcourent l’échine en suivant les mouvements de cette patte qui ne se prive pas pour aller et venir dans un geste qui n’est plus tout à fait nécessaire au nettoyage de la trique, sont autant de regrets que… d’envie. Nostalgie d’un temps qui ne reviendra plus ? Ou simplement une attirance pour ce sexe masculin que Yanis paluche sans vergogne désormais. Il y a également le fait que ce soit celui de son propre frère qui freine ses ardeurs. Et mon Dieu, elle se sent si malheureuse là, devant un spectacle hautement érotique. Elle ne voit pas la laitance gicler du mat branlé, mais mentalement elle sait qu’il vient d’éjaculer. — oOo — Yanis s’est rhabillé avec des fringues propres, après cette toilette champêtre. Il revient vers la maison, son ballot de linge sale dans les mains. Mélinda le laisse entrer et s’emporte soudain. — Tu ne peux pas faire ça discrètement ? Tu as tous les coins que tu désires pour assouvir tes plus bas instincts. Pourquoi tu fais ça à la vue de tout le monde ? —… ? C’est toi tout le monde ? Une femme bien élevée ne chouffe pas son frangin qui se lave. Tu es bien plus perverse que moi, sous tes grands airs. Et tu veux que je te dise ? —… ça ne va pas de me parler sur ce ton ? — Tu es la première à avoir ouvert les hostilités et je te réponds de la manière que tu viens de t’adresser à moi. Que je sois ton frère ne te donne ...
... pas de droits sur moi. — Je sais ! Mais te… caresser en sachant que je suis devant l’évier et que je te vois… ce n’est pas sain. — Ce qui ne l’est pas, c’est surtout qu’une femme qui a connu le sexe ne pratique plus. — Quoi ? Je ne comprends pas vraiment où tu veux en venir. — Tu veux que je te dise franchement le fond de ma pensée ? — Ça nous changerait pour une fois ! — Alors tant pis pour toi. Sors, dégote-toi un bon mâle et laisse-toi baiser, tu seras plus agréable ensuite. Pour te dire tout, si tu n’étais pas ma frangine… je crois que je proposerais bien ma candidature. —… ? Non ! Mais ça ne va pas la tête ? — Écoute ! Je ne t’ai pas invitée. Tu es là, alors je te supporte et partage avec toi le peu de sous que je gagne grâce à mes petits boulots. — Je sais. Pardon d’être pauvre. — Tu te complais dans cet état de fait, c’est ton droit. Ne viens pas te plaindre et je suis, je te le rappelle, chez moi autant que toi. — Oui ! Elle est repartie vers sa vaisselle et le torchon pour l’essuyer. Il semble à Yanis qu’elle pleure. Mais s’il lui a dit ses quatre vérités, c’est qu’elle l’a mis un peu en défaut et la meilleure défense reste souvent l’attaque. Il s’en veut de ses paroles blessantes. Mélinda a sans doute raison. Ce n’est pas clean de se tripoter en sachant qu’elle le lorgnait. Mais il est bien incapable de se trouver une explication plausible à son geste. Une sorte de défi ? Une tentative désespérée de lui hurler qu’il a envie d’elle ? ...