Un jeune homme à la capitale (20)
Datte: 18/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: JHaParis, Source: Xstory
... Arlette. Elle semblait pensive.
— Et bien moi, je pense que j’aurai trouvé...
— Ne crois pas cela, les yeux bandés c’est trompeur.
Arlette s’anima, le champagne y étant probablement pour beaucoup
— Je parie que je trouve à tous les coups.
— C’est un pari impossible, lui dis-je, ne t’emballe pas.
— on va voir...
Elle se leva en titubant et déboutonna son jean qu’elle laissa tomber sur le sol. Son caleçon suivit le même chemin. En essayant de sortir ses pieds de ce tas de vêtements, elle perdit l’équilibre et s’écroula moitié sur le canapé moitié sur le tapis. Elle éclata de rire.
Tu vois, Brigitte, que je me roule toute nue sur ton tapis...
Tous deux repartirent en fou rire...
Ma tante se leva, elle aussi flageolante et retira les vêtements des pieds d’Arlette qui s’allongea sur le dos. Ma tante apporta une serviette de table :
— On a dit les yeux bandés... Et pas de triche, pas de bruit, interdiction de parler...
Elle lui noua la serviette autour de la tête, écarta ses cuisses et releva ses genoux. Le sexe glabre était maintenant totalement exposé...
— Les règles, dit ma tante : Chacun de nous va te lécher chacun son tour, tu donnes la réponse après le deuxième coup...
— Roule ma poule, répondit Arlette d’une voix pâteuse.
Ma tante me fit signe de commencer et je m’installai, prenant grand soin de ne pas la toucher afin qu’elle ne puisse m’identifier par la texture de mes cheveux par exemple. De la pointe de la langue, j’explorai ...
... les grandes lèvres remontant vers le clitoris que je titillai un instant puis je redescendis vers l’entrée de son vagin que j’explorai rapidement avant de revenir sur le clitoris ; j’essayai de reproduire ce que ma tante m’avait appris, mais sans utiliser mes lèvres qui auraient pu me trahir. Je sentis son corps trembler et ma tante d’un petit coup sur l’épaule me signifia que mon temps était achevé. Elle s’installa à son tour et entreprit le même manège. Arlette appréciait visiblement et moi je me régalais également, car ma tante, dans sa position, m’offrait vue inoubliable sous sa jupe qui d’ailleurs était à moitié relevée. Elle s’interrompit, se releva, lissa sa jupe et demanda :
— Alors ?
Sans changer de position, Arlette reprenait son souffle. Elle posa une de ses mains sur son sexe, se caressant légèrement... L’autre main était posée sur le bandeau...
—Putain, c’est vrai que c’est pas facile. Heu, bon. Le premier coup, c’était Brigitte...
Elle retira son bandeau...
— Perdu, triompha ma tante.
Arlette ne sembla pas être une bonne perdante.
— Allez-y encore une fois sans le bandeau que je vois si vous ne me bernez pas.
Je repris ma place et mon activité. Elle se remit à trembler.
— Ah oui, c’était lui le premier.
— La preuve, dit ma tante en prenant ma place...
Arlette se mit à ronronner. Elle lui prit la tête à deux mains et s’agrippa. La position de ma tante à quatre pattes me fit penser à Rébecca. Je m’approchais à genoux, relevais sa ...