Un jeune homme à la capitale (20)
Datte: 18/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: JHaParis, Source: Xstory
Arlette fut enchantée de la promenade depuis la gare jusqu’à la maison de ma tante, par le bord de la rivière. Je lui montrai le banc sur lequel ma tante et moi avions eu un rapport et elle me força à rejouer la scène. Elle se retrouva dans la même position que ma tante, mais là, nous étions tous deux en jeans, ce qui ôtait de l’érotisme à la situation...
Nous arrivâmes enfin devant le pavillon de ma tante et sonnâmes à l’entrée, puis poussâmes le portillon alors que ma tante apparaissait sur le seuil. Toujours vêtue d’une de ses robes printanières elle en avait choisi une très moulante et légèrement transparente. L’absence de marques sur ses hanches montrait qu’elle ne portait probablement rien dessous. Je montai les trois marches et lui collais deux bises sur les joues.
— Ma tante, je te présente Arlette, ma collègue de travail.
Ma tante descendit les marches et négligeant la main que lui tentait Arlette, elle la prit dans ses bras et lui fit une bise sur chaque joue.
— Je suis très heureuse de vous rencontrer, mon neveu ne tarit par d’éloge sur vous.
Arlette fut un peu prise de court par cet accueil. Elle se reprit rapidement.
— Il m’a aussi beaucoup parlé de vous.
Ma tante passa son bras autour de la taille fine de ma collègue et la guida vers la maison :
— Ah bon, j’espère qu’il n’en a pas trop dit. Cela retire le plaisir de la découverte...
— Il en a dit beaucoup. Suffisamment pour me donner envie de venir.
Bras dessus, bras dessous, ...
... elles franchirent la porte. Elles étaient presque de la même taille. Ma tante guida Arlette vers la salle à manger :
— C’est là que nous dinerons, le salon est hélas encore en travaux. Jusqu’à demain si tout va bien...
Arlette regardait autour d’elle, impressionnée par l’impression de tranquillité cossue que dégageait le pavillon. Cela devait la changer de son studio. Elle retira ses chaussures de sport à l’entrée de la salle à manger.
— Oh ce n’est pas la peine, dit ma tante.
Je vis Arlette se troubler :
— C’est que j’ai envie de mettre mes pieds nus sur ce tapis.
— Ah, si c’est pour le plaisir du toucher, vous pouvez même vous y rouler, lui proposa ma tante en riant.
— Ne me tentez pas, j’en suis capable, rétorqua Arlette en riant également...
La glace était rompue...
... Je m’éclipsai dans la cuisine où je débouchai une bouteille de champagne que je mis dans un seau. J’emmenai trois coupes sur la table basse entre les fauteuils où ma tante et Arlette s’étaient installées et échangeaient des amabilités. Je les regardai un instant, ma tante, radieuse dans sa robe légère et Arlette, à l’aise, pieds nus, en jean et débardeur, son blouson de cuir abandonné dans un coin. Ma tante lui faisait raconter sa vie à l’atelier et Arlette évoquait notre travail commun. A chaque fois qu’un nom apparaissait ; Mamadou, Raoul, Mr Leroy, Solange... Ma tante éclatait de son rire cristallin :
— Ah oui, mon neveu m’en a parlé de celle-ci : un phénomène...
Les ...