1. Un jeune homme à la capitale (20)


    Datte: 18/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... sous-entendus entraînaient de nouveaux éclats de rire. Elles s’entendaient visiblement bien...
    
    Je ramenai le champagne
    
    — Pas pour moi, merci, me, dit Arlette.
    
    — Ah oui, dit ma tante, mon neveu m’a raconté pour votre père. C’est sûr que de tels souvenirs vous dégoutent de l’alcool. Mais vous ne devez pas vivre avec vos fantômes, ma petite, il faut les exorciser pour vivre pleinement ce que vous êtes.
    
    — Bon alors, juste une goutte.
    
    Je fis le service, nous trinquâmes et ma tante se leva pour aller surveiller sa cuisine.
    
    — Ellle est sympa, me dit Arlette.
    
    — Plus que cela...
    
    — En tout cas, elle me plaît. Et tu avais raison, elle a un corps d’enfer.
    
    Nous passâmes à table et nous continuâmes à boire du champagne pour les entrées.
    
    Arriva le saumon. Alrlette avoua n’en avoir jamais mangé.
    
    — Pour accompagner le dernier voyage de ce noble poisson, j’ai du vin blanc sec des Charentes, le pays d’origine de ce garnement, mais nous pouvons aussi continuer au champagne, annonça ma tante.
    
    Cela devait représenter pour Arlette un repas de fête. Sa réticence vis-à-vis de l’alcool devait être soluble dans le champagne, car elle annonça que pour sa part, elle préférait éviter les mélanges.
    
    J’allai ouvrir une seconde bouteille...
    
    Nous fîmes un mauvais sort au délicieux saumon et Arlette dont les yeux brillaient déclara qu’elle n’avait jamais mangé quelque chose d’aussi bon. Le dessert consistait en une crème brulée savoureuse et je dus ouvrir une ...
    ... troisième bouteille. Au café, nous étions tous très joyeux. La conversation commença à dériver quelque peu. Les deux filles se tutoyaient et un rien tournait à l’éclat de rire.
    
    — Brigitte, tu sais, ton neveu m’a montré le banc où...
    
    — Il t’a raconté ça. Le cochon...
    
    — Et bien on a fait pareil... Mais en jean, c’est pas la même chose...
    
    Elles éclatèrent de rire toutes les deux et je les accompagnai...
    
    Quand elles reprirent plus ou moins leur souffle, ma tante demanda :
    
    — J’espère que c’est tout ce qu’il a raconté ce nigaud.
    
    — Penses-tu, il m’a tout dit. Tes aventures m’ont fait mouiller devant la machine...
    
    Nouveau fou-rire... Les coupes se vidaient et je les remplissais.
    
    — Dis-moi Arletque, qu’est-ce qui t’a le plus excité ?
    
    — Le coup de la promotion canapé. Putain, t’as dû te marrer. C’est ton meilleur souvenir ?
    
    — Pas exactement.
    
    Elle tendit sa coupe vers moi et je la servis.
    
    — Après, nous avions pris l’habitude, de temps en temps de faire de cochonneries tous les trois. Un jour, figure-toi qu’ils ont organisé un jeu. J’avais les yeux bandés, j’étais sur le dos sur le bureau, sans culotte bien sûr. Ils m’ont léchée à tour de rôle. Il fallait que je devine qui était en train de s’occuper de moi. Après, ils m’ont prise et là, ça a été plus facile ; je connaissais leur queue, la taille le diamètre, la courbure, la dureté... Mais au jeu de la minette, j’ai été piégée. Agréablement, mais piégée quand même.
    
    Je remplis la coupe que me tendait ...