Retournement de situation
Datte: 17/02/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... s’excuser auprès d’une domestique. Ce serait saper la bonne tenue d’une maison.
Même inquiète, une bourgeoise doit rester consciente des différenciations sociales.
— En effet, ce serait une grave erreur, conviens-tu, mais je ne songeais pas à cela. Je verrais en fait une situation imposée qui renverrait exactement à la faute commise.
— À quoi pensez-vous, dites-moi. Votre conseil, quel qu’il soit, sera le bienvenu.
— Vous en déciderez, ma chérie. Que diriez-vous d‘une inspection de leur petite culotte ? Évidemment, comme cette humiliation serait infligée à votre jeune parente, je vous laisse juge. Ne voyez dans mon avis qu’une simple suggestion.
— Excellente, Aline ! Une suggestion excellente, s’emballe Marie-Blanche autant que le lui permet une voix étouffée. Et elles devraient vous remettre leur lingerie ?
— Les remettre à nous. À vous et à moi, comme pour celle qu’elles ont brocardée sans vergogne.
— Oui, oui, très bien ! Et comment se déroulerait la chose ?
— Voyons… commences-tu.
Je vous abandonne à votre complot pour m’intéresser aux occupations de vos futures victimes, étonnamment discrètes depuis un certain temps. Elles se sont retirées dans le coin le plus éloigné du salon et conversent tête contre tête pour ne pas ébruiter leur dialogue. Mimiques ironiques et ricanements grivois mal contenus trahissent toutefois le fond de leur conversation n’en déplaise à leur souci de confidentialité. Le sujet les occupe assez pour les rendre sourdes aux ...
... premières interpellations et Marie-Blanche doit élever la voix pour attirer leur attention.
— Viviane ? Viviane ! S’il te plaît ?
— Oui, ma tante ?
— Veux-tu venir nous rejoindre, s’il te plaît, avec Clémence ? Madame Aline a quelque chose à vous dire.
Les deux pipelettes interrompent avec mauvaise grâce les railleries complices qui les réjouissaient et se rapprochent mollement du canapé.
— Voui ? laisse tomber Viviane, d’une voix légèrement excédée.
— Qu’est-ce qu’il y a ?
Clémence a enchaîné sur un ton qui sous-entend de façon claire un « encore ? » éludé.
— J’ai l’impression que les récents spectacles vous ont intéressées, leur souris-tu. Je me trompe ?
— Ben… non. Oui… Enfin, c’était… marmonnent-elles, incertaines de l’attitude à prendre.
— Inhabituel ? Rigolo ? Choquant ? interroges-tu sur un ton neutre.
— Ben… cocasse, quoi ! Voir ces deux filles… commence Clémence en riant à demi.
— Elles étaient un peu ridicules, voilà, termine Viviane avec une désinvolture affichée.
— Ce qui vous donnait évidemment le droit de vous moquer d’elles, proposes-tu.
— Oh, on ne s’est pas moqué, pas vraiment, protestent-elles.
— Non, pas vraiment, juste pour railler leur obéissance, pour plaisanter sur leur situation, avances-tu. C’était amusant de les contempler, hein ? De se divertir de leur gêne.
— Ben, on croyait qu’on pouvait, puisque c’était leur punition, se justifie Viviane.
— Ah oui ? Et de quel droit ? Vous êtes si exemplaires que vous pouvez vous permettre de ...