Retournement de situation
Datte: 17/02/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... innocentée, sinon, vous seriez allée voir Germaine avec votre culotte sale sur la tête.
— Oh Madame ! De toute façon, elle va se moquer de moi, pleurniche Sandrine.
— Vous ne serez pas la seule nue. Arrêtez de pleurer et filez !
Déborah, qui a entendu sans surprise l’aggravation de son châtiment, prend pitié de sa jeune guide et l’enlace gentiment en se dirigeant vers leur lieu d’ablutions. Avant de sortir, elle m’envoie un clin d’œil complice pour indiquer qu’elle a bien pris note de la suggestion chuchotée auparavant. Dès que leurs deux gracieuses silhouettes ont disparu, Marie-Blanche s’empresse de faire état d’un sentiment qui la tourmente, sans vouloir paraître lui attacher trop de prix.
— Ah cette jeunesse, toujours inquiète de son apparence, commence-t-elle d’un ton léger, comme si ma vieille gouvernante pouvait s’émouvoir de la vue d’une fille nue ! Pourtant, je dois vous avouer, chères amies, qu’il y a autre chose qui me chagrine.
Je ne suis pas malheureuse d’être réintégrée dans le cercle des« happy few » intimes de madame C**, quoiqu’un peu angoissée par la perspective d’une séance de punition dont je ne sais pas ce qu’elle m’offrira au réveil. J’imagine à tout hasard quelques possibilités, tout aussi alarmantes qu’attirantes, qui font errer mes pensées sans prêter l’oreille à ton interrogation sur la fameuse « chose » chagrinante. J’émerge de mes songes lorsque tu me tapotes l’épaule.
— Houhou, Chantal, tu dors ? Tu as entendu ? Marie-Blanche t’a ...
... posé une question.
— Pardon ? Non, désolée, j’étais… euh, je réfléchissais… Excusez-moi, Marie-Blanche, que me demandiez-vous ?
— Il n’y a pas de mal, Chantal, me pardonne-t-elle, toujours affable, on conçoit que vous soyez fatiguée après toutes vos activités cet après-midi et votre… dévouement ce soir.
— Non, non, ça va, je n’ai pas sommeil, dis-je bêtement.
— Tant mieux, tant mieux, reprend-elle avec un sourire. Je disais à Aline que je vous fais totalement confiance à propos de Sandrine – j’ai vu avec quelle méticulosité Déborah et vous l’avez examinée – et que, donc, l’attitude de ma petite cousine et de son amie me chiffonne. Pensez-vous qu’elles aient menti sciemment ?
Aïe ! La question m’embarrasse. Je concède que j’ai eu cette impression, au début, mais je veux tempérer mon jugement. Selon moi, l’erreur serait plutôt à mettre au compte de leur inexpérience ou peut-être de la pression psychologique d’une situation inhabituelle.
— Je te trouve bien gentille, ma Chantal, maugrées-tu. Tu l’es toujours, trop gentille, d’ailleurs. Comme avec Déborah, tu comprends ? Mais pour revenir à nos demoiselles, mon opinion est faite. Je les ai observées, j’ai entendu plusieurs de leurs remarques, je suis certaine qu’elles ont menti par malice et méchanceté. C’est ce que je viens de dire à notre amie pendant que tu… rêvais.
Mon petit doigt m’invite à ne pas te contredire. Oh, pas dans l’inutile espoir que tu seras moins sévère avec moi demain matin ! Ma rêverie a suscité des ...