France
Datte: 17/02/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
extraoffre,
danser,
Transexuels
pénétratio,
hsodo,
couplea3,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... paraissiez inaccessible. Maintenant je sais que cela est possible. Je me trompe ?
J’hésite, mais la petite voix hurleNe fais pas la conne. Fais-le monter… Pourtant j’hésite encore.
— Je peux vous faire deux confidences si vous voulez.
— Ah et en quoi cela me concerne.
— Justement, si.
— Je vous écoute.
— Non, chez vous.
— C’est du chantage.
— Non, je sens une réticence…
— Venez.
J’habite un petit trois-pièces depuis que j’ai divorcé. On a vendu la maison et avec ma part j’ai acheté ce chez moi.
Dès que je referme la porte sur nous, il me prend dans ses bras. Je le repousse.
— Alors ces confidences ?
— Je ne peux pas vous le dire comme cela, laissez-moi vous les dire à l’oreille.
Il m’enlace à nouveau. Je sens son souffle contre mon cou.
— Je vous ai menti, c’est bien moi qui avais demandé que la masseuse vienne me chercher au bon moment.
— Je m’en doutais. Mais pourquoi ?
— Vous me paraissiez si inaccessible. Je me suis dit que c’était une façon de briser la glace.
— Vous avez une drôle de façon de briser la glace.
— Oui.
— Et l’autre confidence ?
— On va rester dans l’entrée toute la soirée ? Vous voulez me chasser ou refaire comme à l’hôtel ?
Le coquin, il sait me rappeler ce que j’ai fait.
Je l’entraîne. Le salon est devant nous.
— Je pensais à votre chambre. Cette confidence demande un environnement particulier.
— Claire m’avait prévenu et elle a raison, vous êtes un redoutable manipulateur.
— Merci pour le ...
... compliment.
Heureusement, ma chambre est nickel.
— Alors ? Je demande impatiente.
— À l’oreille aussi.
Il m’enlace. Mais plutôt que de me parler, il me fait des baisers dans le cou.
Je frissonne. Il s’enhardit. Ses lèvres viennent sur les miennes. Doux baiser qui se transforme en baiser ardent. Il me serre contre lui. Je sens sa chaleur, son odeur, sa force. Je sens sa main contre ma nuque. Il cherche ma fermeture éclair. Je sens qu’il la tire vers le bas.
Voilà ! C’est parti. Je sens la chaleur de sa paume sur mon dos. La robe est ouverte jusqu’aux reins. Il va repousser les bretelles. Après il sera trop tard.
— Tu me dis ?
Le tutoiement m’est venu sans réfléchir. Pendant tout le voyage, et même ce soir, j’ai été étonnée qu’il ne me tutoie pas. Me croyait-il vraiment inaccessible qu’il gardait cette barrière de langage. Il faut que ce soit moi qui la transgresse !
— Attends, laisse-moi un peu de temps, c’est difficile à avouer.
Ma robe tombe. Je suis en petite tenue devant lui. Je m’attaque à sa chemise. J’ai perdu les codes, mais détacher les boutons de la chemise d’un homme ne peut qu’afficher son envie. Il m’aide, mais c’est moi qui tire la chemise du pantalon, dégrafe le dernier bouton, celui encore chaud de son ventre, chasse les épaules pour me le livrer torse nu. Je l’ai déjà vu au bord des piscines, mais sa toison abondante paraît plus clairsemée vue de près. Instinctivement j’en teste la douceur. Les poils sont soyeux, longs, concentrés sur le torse, ...