1. France


    Datte: 17/02/2022, Catégories: fh, fhh, couple, extraoffre, danser, Transexuels pénétratio, hsodo, couplea3, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... laissant les épaules nues, mais descendant jusqu’au ventre. Je sais qu’ils ne vont pas plus loin, car lors de ma prestation dans ma chambre d’hôtel, j’ai vu la transition douce du ventre au pubis avec le reste parfaitement lisse.
    
    Il m’attire à lui. Ma peau contre sa peau. Je suis troublée. Il détache mon soutien-gorge. Je dégrafe sa ceinture. On se sépare le temps de finir de nous déshabiller. Il est nu. Il bande. Son sexe libéré est tendu à l’horizontale. Je me dis qu’il doit vraiment me désirer pour que cette courte préparation l’ait déjà excité. Je m’agenouille. Me voici comme l’autre soir, prêtresse devant son dieu.
    
    Je le suce. Il me regarde. Il aime. Il le dit, mais ne va pas aux mots crus de l’autre fois. Juste des « c’est bon… Oui… Tu es vraiment douée… » Mais au bout d’une minute où il arrive de gémir de plus en plus fort, il me demande :
    
    — Non, arrête-toi.
    
    Et il m’invite de la main à me relever. Il me pousse vers le lit.
    
    Il s’occupe de moi. Il me couvre de baisers. Il me caresse. C’est bon. Il plonge entre mes cuisses et pendant de longues minutes, il doit trouver que je suis bien longue, il me lèche jusqu’enfin la jouissance arrive. C’est à moi de lui dire que c’est bon, que j’ai du plaisir.
    
    Je le vois alors se redresser, fouiller dans la poche de son pantalon et sous mes yeux revêtir son mandrin d’un latex transparent. Mon dieu, il y a combien d’années que je n’ai pas vu de capotes. Enfin, je veux dire pour moi, car en bonne mère de famille, j’en ...
    ... avais acheté lorsque ma fille me semblait prête à sauter le pas. Lui donner avait été une vraie complicité entre mère et fille. Mais aujourd’hui, c’est pour moi qu’elle est utilisée.
    
    Il se penche sur moi. J’ouvre les cuisses. Il se positionne. Il me couvre, ses deux bras en appui de chaque côté pendant que d’un mouvement du bassin, il guide son mandrin vers ma fente.
    
    Il est délicat et va doucement, mais je suis ouverte et plus qu’humide, de sa salive et de mon jus. Il entre, longue glissade et je suis presque étonnée que déjà il soit à fond. Rien à voir avec le braquemart de mon mari qui, même bien préparée par lui, ce qui n’arrivait pas souvent, me remplissait en déformant mes chairs pour s’y faire une place.
    
    Il bouge doucement. C’est bon. Je me sens bien. Je glisse ma main dans sa toison. Nous nous sourions, complices. Il me possède. Rien à voir avec les « envolées » de mon ex qui n’imaginait pas une possession sans de grands mouvements et balancements, me faisant sentir combien il était gros, combien il était dur, que je devais être heureuse, qu’après tant d’années de mariage, mon mari ait encore envie et de prouver de bien baiser son épouse.
    
    C’est bon. Il me possède. Il m’embrasse. Je me dis qu’enfin je vais retrouver mes premières jouissances, de celles d’avant la naissance de mes enfants. De longues minutes, il s’occupe de moi. C’est bon, mais je ne sens pas encore que… Je retrouve mes vieux réflexes, je gémis, je simule.
    
    Xavier se retire. Il ’m’invite à ...
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