Incroyable
Datte: 16/02/2022,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... serveur vint me sauver. Elle, en revanche, semblait prête à continuer indéfiniment. Nous avions laissé la voiture à un bon quart d’heure de marche ; elle frissonna un peu, je posai ma veste et lui mis sur les épaules. Elle sourit pour la seconde fois et rompit le silence :
— Gardez-là, c’est vous qui allez avoir froid. Mettez juste votre bras autour de mes épaules.
Elle-même passa son bras autour de ma taille, sous ma veste et, ainsi liés, nous accordâmes nos pas pour rester bien encastrés l’un contre l’autre. Ma virilité reprenait belle taille. Arrivés à l’hôtel, après une route silencieuse, nous prîmes nos clés au tableau. J’étais logé dans une aile différente des stagiaires, une chambre un peu plus luxueuse, merci patron. Sur le palier de l’entresol, là où nos chemins se séparaient elle me dit :
— Je peux ?
Et sans attendre de réponse, elle s’engagea vers mon secteur. Dès la porte de la chambre refermée, elle croisa ses deux bras autour de mon cou et m’offrit l’un des plus longs et plus délicieux baisers de ma vie, une merveille d’agilité et de savoir-faire provoquant une excitation folle. Quand elle se dégagea doucement, sa voix grave murmura :
— Laissons parler nos corps.
Elle passa à la salle de bains, j’y passai aussi, et pendant ces instants de séparation j’en vins à me demander : et si cette voix grave et cette absence de poitrine ne trahissaient pas autre chose… Et si Maëlle était en fait un mec, un travelo, un transsexuel ? La réponse ne tarda ...
... pas. Dès mon retour dans la chambre où elle m’attendait, elle m’offrit une séquence de strip-tease n’ayant rien à envier à celui de Kim Bassinger dans « Neuf semaines et demie », sauf qu’il manquait la musique de Joe Cocker. La belle était bien une femme, une superbe femme au corps sculptural. Ses cuisses dessinaient leurs muscles longs et fuselés à chacun de ses mouvements, ses fesses fermes et rebondies à souhait étaient encore plus belles que sa robe ne les laissait deviner. Son pubis parfaitement glabre faisait une belle saillie lisse et tendre au bas de ses abdominaux marqués, et la sage fente profonde et bien serrée ne laissait rien apparaître de son vestibule. Quant à sa poitrine, c’était vraiment curieux : la glande mammaire était inexistante et, un peu comme un homme, seuls les pectoraux ajoutaient un volume sur ses côtes. En revanche saillaient deux aréoles coniques assez dilatées et roses, poussant en avant deux mamelons cylindriques bien dressés qui semblaient aussi durs et souples que les gommes aux extrémités de certains crayons. Terminant son effeuillage, assise au bord du lit, par un élégant roulage de bas, elle s’y étendit ensuite lascivement, nue comme un ver, totalement offerte à ma gourmandise.
À la fois fin et puissant, mince et charnu, ce corps somptueux ravit mes rétines et dopa mon désir. Je bandais comme un taureau, d’autant que cette curieuse poitrine donnait à ce superbe corps féminin comme une allure d’adolescente ou d’androgyne, épiçant mon ...