Incroyable
Datte: 16/02/2022,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
nostalgie,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... mais surtout pour épargner ma partenaire, lui laisser le temps de s’habituer à cette intromission qui semblait gonfler encore plus, étranglée par son sphincter. Elle avait voulu faire ça ici et maintenant ? Soit. Je pilonnai en cherchant la fin la plus rapide possible, histoire de ne pas finir au poste. L’histoire dura tout de même cinq bonnes minutes, le temps de constater combien Einstein avait raison : au regard d’une éventuelle ronde policière, ça me parut très long, mais trop court au regard du plaisir ressenti. Le temps est bien relatif, tout dépend de la situation de l’observateur.
L’étroit conduit et ses contractions sporadiques donnaient à ma queue des sensations incroyables, augmentées de la rage que j’avais à faire cet acte dans cet endroit incongru. Avec le recul, je crois que c’est bien ce que cherchait Maëlle, une sorte de scénario de sodomie en pleine ville. Ça devait l’exciter parce qu’elle aussi partit rapidement, plus vite que moi, dans une sorte de tétanie orgasmique qui la crispa toute entière, alors qu’elle ne cessait de feuler et gronder à chaque fois que mon ventre heurtait ses fesses. Quand le plaisir me foudroya, je lâchai ses hanches pour laisser lourdement retomber mes mains sur ses fesses tendues, lui tirant un dernier cri sauvage. Mon foutre gicla dans son boyau en jets multiples, m’étonnant moi-même de posséder autant de réserves. Elle s’écroula à genoux devant l’arbre, quelques gouttes perlaient encore de mon méat et finirent sur la terre ...
... couverte d’aiguilles. Maëlle émettait encore des sortes de sanglots rauques, je remballai mon sexe un peu ramolli, mais tout irrité et douloureux et lui pris une main pour l’aider à se relever. Elle rabattit sa jupe, frotta ses genoux pour en faire tomber quelques aiguilles incrustées dans le jean, et nous partîmes à la recherche de la sortie. Effectivement, le portail était maintenant fermé et il fallut soulever la béquille et forcer un peu la gâche pour l’ouvrir. Je le remis tant bien que mal en place. Passant sous un réverbère, la lumière montra mon pantalon maculé de gel et de sperme, le rimmel de Maëlle avait coulé sur ses joues. Joli couple ! Elle s’assit de biais dans la voiture, le fondement rudement éprouvé, mais ne dit pas un mot. À l’hôtel, ce fut douche et dodo.
Ce jeudi devait être notre dernière soirée ensemble, tout le monde partirait le vendredi après un court bilan l’après-midi. La réceptionniste de l’hôtel me donna contre un sourire l’adresse d’un petit restaurant typique au possible, dans un port minuscule et ignoré des touristes à une heure de route environ. J’y retins une table. Encore une fois, la journée me parut longue sous le regard appuyé de Maëlle qui conservait toujours la même attitude, de nouveau vêtue de son fourreau émeraude découvrant ses superbes cuisses. Je crus cependant la voir dandiner un peu sur sa chaise d’une fesse sur l’autre, certainement un souvenir cuisant. Dès le travail terminé, je l’invitai à prendre la route avec moi, acte ...