1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... participais à l’hallali.
    
    L’autre zozo ne traîna pas. Il eut trois ou quatre spasmes et se vida dans la gorge de la demoiselle qui, à son tour, tétanisa et jouit comme une folle déchaînée. Le vieux, soudain stimulé par cet orgasme délirant, en rajouta une couche en se payant un galop endiablé, puis il éjacula longuement dans ses boyaux. Les couilles vidées, les deux lascars remirent leurs pantalons en un clin d’œil. Le père sortit un gros billet de son portefeuille, le plia en quatre dans le sens de la longueur et le glissa dans la raie des fesses humide de la pauvre fille. Ils partirent comme des voleurs, sans la moindre attention pour leur victime, retrouver leurs veaux enfermés dans le fourgon.
    
    Je la regardai, vautrée dans l’herbe, luisante de sperme, affalée, démolie. J’aurais voulu lui porter secours, elle n’aurait sûrement pas apprécié. J’attendis qu’elle se lève enfin et titube jusqu’au ruisseau en lâchant des pets humides. Des coulures café au lait maculaient l’intérieur de ses cuisses, elle s’accroupit dans l’eau claire et commença ses ablutions. Je partis discrètement, totalement chamboulé, le pantalon collé au ventre. Je ne pouvais pas continuer ma tournée dans cet état. Mais il fallait surtout que j’en parle, que je comprenne, qu’on m’explique. Je décidai donc de passer chez Catherine, mon « initiatrice », pour vider mon sac. Elle, pensai-je, comprendrait…
    
    J’arrivai dans sa cour, pas de molosse, porte fermée. Je me dirigeai donc vers l’étable dont je ...
    ... remarquais la porte entrebâillée. J’entendis bientôt quelques gémissements puis quelques paroles :
    
    — Vas-y, Loco, bon chien… Oui… Oh oui, mon Loco, vas-y à fond, fait plaisir à maman…
    
    Dressage ? Que nenni ! Quand mes yeux s’habituèrent à la pénombre, j’aperçus une autre scène effroyable : Catherine était là, à quatre pattes dans le foin, la blouse retroussée au-dessus de la ceinture, et son puissant clébard grimpé sur son dos finissant de donner des coups de reins. Putain de journée ! Pas la mienne en tous cas. Je sortis rapidement et m’appuyai au mur pour dégueuler tout ce que j’avais dans les tripes. Je sautai dans ma voiture et filai terminer ma journée au lit après une longue, très longue douche.
    
    Cette journée gâcha complètement mes derniers jours de ce job d’été. Si la ruralité avait ses bons côtés, elle dissimulait également des horreurs. Dorénavant, j’évitais tout contact direct avec la gent féminine. Rien qu’à la pensée que j’avais fourré mon zob dans ces « coinstraux bizarres », comme chantait Boris Vian, où un clébard, un vieux et son débile de fils avaient pris leur plaisir, j’éprouvais un profond dégoût. Une nausée à la Sartre. À chaque fois que je me douchais, je me récurais le sexe à m’en arracher la peau, et ça ne me faisait pas bander. Mon contrat touchait à sa fin et c’était tant mieux, je récupérai un beau paquet de pognon entre salaire et commissions, de quoi continuer mes travaux. Pour l’heure, chaque soir et le prochain week-end, le programme était ...