Une autre vie commence. (11)
Datte: 15/02/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Faunus, Source: Xstory
... pouvoir jouer dans de bonnes conditions.
En souriant, elle le repoussa pour se placer face à la route et redémarrer le véhicule. Tout en conduisant, elle se passa une main sur le visage. Ce geste fit rire Charles qui l’observait, ce qui lui valut une tape sur la cuisse.
— Je regrette seulement de ne pas pouvoir t’administrer la même sur tes fesses rebondies.
— Concentre-toi sur la conduite mon amour. Pour le moment, mes fesses sont bien protégées.
— Oui, bien sûr, laisse donc ma petite grotte et le clitoris tranquille, tu vas finir par me faire jouir.
— Tu as raison, ce serait dommage de perdre ce nectar.
Charles immobilisa sa main sur le coquillage. Le silence revint dans le véhicule, du coin de l’œil il observait la conductrice ; elle souriait. Ils s’éloignaient de Lyon et le nombre de véhicules avait fortement diminué, la circulation devenue très fluide. Cela faisait un peu plus d’une demi-heure qu’ils avaient repris la route, quand Charles entendit le clignotant. Il avait vu quelques centaines de mètres auparavant un panneau annonçant une aire de repos. Il se contenta de se taire, sa chérie avait peut-être une autre envie pressante. Il se dit qu’il profiterait de cette pause inopinée pour soulager sa vessie. Quand le véhicule s’immobilisa après avoir détaché sa ceinture, il posa sa main sur la poignée pour ouvrir la porte.
— C’est une bonne idée de faire une pause. Ma chérie, ton petit vieux te dit merci.
— Ah ! Tu as besoin de faire pipi, bien ...
... vas-y. Tu aurais pu le dire, je me serais arrêtée un peu plus tôt.
— Je n’en ressentais pas vraiment le besoin, cela pouvait attendre que nous soyons arrivés au domaine.
Après être sorti de la voiture, Charles se dirigea d’un pas rapide vers le bâtiment sanitaire. Il n’aimait pas trop ce genre d’édicule en raison du manque d’entretien régulier des toilettes hors saison estivale. L’absence de porte facilitant la circulation de l’air, ses narines ne furent pas trop agressées. Le local étant vide, il avait l’embarras du choix. Face à un urinoir, en extirpant son sexe, il se mit à rire, Josiane ne s’était pas trompée. Le contact humide avec son slip venait de l’informer, son oiseau avait beaucoup pleuré. Une fois son affaire faite, il rejoignit le véhicule où l’attendait la jeune femme.
— Ah, oui ! Ton regard est moins jaune. J’espère que tu n’as pas fait pipi dans ton slip.
— C’est ça ! Moque-toi ! Non ! Je n’ai pas pissé dans ma culotte. Ceci dit, tu avais raison, c’est tout de même bien trempé. Et maintenant, je sens de l’humidité sur ma peau, ce qui n’est pas très agréable.
Tout en se réinstallant, il lui avait répondu sur le ton de la plaisanterie. Il la regardait en souriant, attendant sa réponse. Il lui fit une grimace dans le but de la faire rire et pour obtenir une réaction de sa part. Après avoir pris sa tête entre ses mains, Josiane d’un air sérieux fixa son regard dans le sien.
— Hé, bien, ma petite chérie, tu me sembles bien sérieuse tout d’un coup. ...