Moi paysanne maîtresse du sexe (5)
Datte: 14/02/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... ouvre les bras pour nous enlacer.
— Voilà bien un élan d’amour qui me va droit au cœur mes petites chéries. Vous me paraissez en forme les filles.
— Vous êtes là pourquoi ?
— Je suis là pour vous dire comment ça va se passer mes chéries.
— Quoi donc.
— Votre apprentissage de la lecture et de l’écriture.
— Ah oui.
— Tous les matins, juste après le lever qui se fera une heure plus tôt, à cinq heures, je vous prendrais une heure, quand vous aurez fini de vous occuper de madame, je vous prendrais une heure de plus, et quand madame fera sa sieste, je vous prendrais une nouvelle fois une heure. Je pense que trois heures par jour ne devraient pas être trop pénibles, il ne faut pas que ce soit rébarbatif.
— Rébarbatif ?
— Repoussant, qui te dégoûte, il faudra aussi que je voie pour le vocabulaire, madame est assez exigeante là-dessus. Allez, à table les filles.
Nous allons nous laver les mains et rejoignons Marthe et Denise déjà à table. Elles sont au courant de ce qu’a décidé madame, les nouvelles vont vite au château. Elles semblent un peu jalouses.
— Alors, vous allez nous quitter, vous allez vivre la vie de château ?
— Marthe, d’abord on n’a rien demandé, ensuite, même si nous ne sommes plus dans la chambre avec vous, nous serons au service de madame comme maintenant. En plus, Marie lui a dit que ce n’était pas juste pour vous et elle va en parler à monsieur pour qu’il fasse la même chose avec vous. Je vous demande de ne rien dire à ...
... personne.
— Tu as vraiment dit que c’était injuste Marie.
— Oui parce que je le pensais, vous êtes comme nous.
— Merci, vous dormez encore avec nous cette nuit ?
— Oui, pour la dernière fois, je pense.
— Alors, prépare-toi à ne pas dormir beaucoup cette nuit, on va s’occuper de toi.
— Il faudrait quand même que je ne puisse travailler demain.
— Ne t’en fais pas.
Nous finissons de manger, Louise va chercher le repas de madame, nous montons lui apporter. Nous la trouvons endormie, nue sur son lit. J’ai un coup au cœur, Louise se penche à mon oreille.
— Elle est belle tu ne trouves pas ?
— Très belle, à chaque fois que je la vois nue, allongée comme ça, si belle, mon cœur se serre.
— Le mien aussi, moins que pour toi, mais il se serre aussi.
Louise pose le plateau sur un meuble, elle vient vers madame, pose sa main sur son épaule.
— Madame ?
— Oui Louise, je somnole, je suis un peu fatiguée, aide-moi à me relever.
Louise l’aide à se redresser, je glisse un oreiller derrière elle, nous vérifions si elle est bien calée.
— Très bien mes chéries, mais je n’ai pas très faim, Marie, apporte-moi quand même le plateau, je vais voir ce que je peux manger.
Louise pose le support, j’apporte le plateau à madame, elle essaye de manger, mais il est évident qu’elle ne va pas manger grand-chose. Au bout d’un petit moment, elle pose ses couverts.
— Je ne peux pas, débarrasse moi ma petite Marie.
J’enlève le plateau et le support, nous l’aidons à ...