1. Moi paysanne maîtresse du sexe (5)


    Datte: 14/02/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    La révélation
    
    Nous nous regardons, Louise se tourne, je déboutonne sa robe, elle me fait la même chose et une fois nues, nous nous allongeons en l’encadrant. Elle passe ses bras derrière nos cous et nous rabat sur elle. Je pose mon bras sur sa poitrine, Louise en fait autant, je vois qu’elle sourit, elle semble bien.
    
    — Ne bougez plus mes chéries, je suis bien, je vais dormir un peu.
    
    Elle s’endort en très peu de temps, Louise me regarde en souriant, elle me fait comprendre qu’il ne faut rien dire, nous ne bougeons pas. Au bout d’un long moment, je commence à somnoler, Louise bouge son bras et commence à caresser le corps de madame, elle me fait signe de faire la même chose. Ma main glisse sur ses seins, son ventre, son mont de Vénus, ses cuisses et remonte vers ses seins. Madame bouge un peu, je vois que son bassin ondule un peu. Louise me montre son sexe, je comprends qu’il faut que je m’en occupe. Je bouge en la bousculant le moins possible, je lui écarte lentement les jambes, juste assez pour que je puisse glisser ma langue entre ses lèvres. Je commence à la lécher, je constate qu’elle sécrète déjà de la cyprine, nos caresses lui font quelque chose, ma langue la récupère, je la bois avec délice.
    
    Son ventre bouge de plus en plus, ma langue commence à remonter vers son clitoris, je veux l’aspirer, mais je ne veux pas qu’elle jouisse trop vite, j’ai envie de profiter de son sexe le plus longtemps possible. Je prends mon temps, je sens qu’elle s’impatiente de plus ...
    ... en plus, mais je n’ai pas envie de me priver de ce merveilleux nectar qu’elle m’offre en quantité.
    
    — Oui, oui, fais-moi jouir Marie, fais-moi jouir.
    
    Je continue comme si je n’avais rien entendu, je continue de batifoler dans son sexe, ma langue se glisse entre ses lèvres pour en extraire le nectar qui s’en échappe. Son ventre ondule, ses fesses se soulèvent, elle se raidit de plus en plus, je sens qu’elle est au bout de sa patience, mais je ne cède pas. Quand je la sens tendue au maximum, je me décide à lui aspirer le clitoris, je sais déjà que ça déclenche presque instantanément l’orgasme comme elle dit. Son corps exulte, ses jambes m’enserrent la tête comme pour la détacher de mon corps, elle hurle, c’est la première fois que je l’entends hurler si fort, ses fesses sont à une main du lit, je commence à étouffer entre ses jambes, mais doucement elle se détend, son corps retombe sur le lit, sa respiration redevient normale, je reste sur son sexe, je m’abreuve toujours de sa cyprine, je suis très heureuse qu’elle ait autant joui. Je me redresse, elle me prend la tête et me fait glisser sur elle.
    
    — Tu es une diablesse, jamais on ne m’avait fait languir comme ça, mais maintenant, je veux que tu le fasses tout le temps et toi aussi Louise. C’est un peu étrange qu’une petite paysanne vierge qui n’avait jamais touché un corps féminin nous en apprenne déjà. Je dis petite paysanne en te désignant Marie, mais ce n’est pas méchant, je te l’assure, viens, embrasse-moi.
    
    Nos ...
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