1. Moi paysanne maîtresse du sexe (5)


    Datte: 14/02/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... bouches se soudent pendant une petite minute, j’aime ce ballet de langue dans nos bouches. Quand elle me libère, je glisse sur le côté, elle embrasse Louise qui promène sa main sur son corps. Elle se lève, Louise va chercher sa robe et l’aide à l’enfiler. Elle noue le nœud sous ses seins et vient me rejoindre. Elle me regarde et m’enlace, je me love contre son corps, je veux que nos corps ne fassent plus qu’un, madame vient vers nous.
    
    — Je pense que j’assiste à la naissance d’un amour, j’en suis très heureuse pour vous. Vous êtes libres les filles, à tout à l’heure pour le dîner, je vais me promener dans le jardin.
    
    Nous enfilons nos robes et allons vers l’escalier, mais arrivées à la porte, Louise s’arrête.
    
    — Descends devant, il faut que je parle à madame, je te rejoins dans quelques minutes.
    
    Je suis étonnée, mais je descends jusqu’à notre chambre. Elle me rejoint quelques minutes plus tard, je n’ai pas eu le temps de trouver le temps long.
    
    — On a une heure, madame aura besoin de nous, j’ai prévenu à côté, ils nous préviendront, il n’y a pas l’heure ici.
    
    — De toute manière, je ne sais pas la lire.
    
    — Et tu faisais comment dans les champs ?
    
    — Comme tout le monde, je regardais le soleil, mais tu as toujours vécu dans une ville toi ?
    
    — Oui.
    
    — Tu regardais l’heure sur les horloges.
    
    — Oui, ou les cadrans solaires, c’est la seule chose que je sais lire, mais arrêtons de parler, j’ai envie d’autre chose.
    
    Elle me fait tourner et déboutonne ma robe ...
    ... qui tombe à terre, vite suivie par mon jupon. Je lui fais la même chose et on se jette dans le lit. Nous nous sommes aimés tendrement, je lui ai fait ce que j’ai fait à madame, jusqu’à ce qu’elle demande grâce et jouisse comme jamais je ne l’avais vue jouir, elle m’a fait la même chose, j’ai cru mourir de bonheur, nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre avant qu’Augustine vienne nous réveiller.
    
    — Debout les filles, il faut bosser un peu.
    
    Nous nous levons, nous habillons, mais sans jupon et allons rejoindre madame. Elle nous attend, allongée habillée sur son lit.
    
    — Les filles, je ne me sens pas bien, il va falloir m’amener mon dîner ici, prévenez monsieur qu’il va manger seul.
    
    — Très bien madame. Vous désirez autre chose ?
    
    — Non, Louise, tu préviens Marthe pour monsieur et tu reviens tout de suite, Marie, tu restes avec moi.
    
    Louise sort de la pièce.
    
    — Je trouve que vous avez des visages de femmes épanouies, vous vous êtes aimées pendant le repos ?
    
    Je rougis, je trouve que c’est assez intime.
    
    — Ne réponds pas ma chérie, la couleur de ton visage est assez parlante.
    
    Je sens mes joues encore plus chaudes.
    
    — Viens me déshabiller, je veux dormir un peu.
    
    Elle se lève, je la déshabille et vais poser sa robe sur un cintre, quand je me retourne, elle est là, devant moi, immobile en me regardant les bras le long du corps. Je m’approche pour l’aider à se coucher, mais elle ne bouge pas.
    
    — Câline-moi, j’ai envie de sentir mon corps ...
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