1. De père en fils .... (2)


    Datte: 14/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... la sirène, c’est la sirène qui prend l’homme ». Ce matin, j’ai baisé avec le père et cet après-midi je voulais le fils. Je l’ai attiré dans les mailles de mon filet, il n’a rien vu venir et il croit m’avoir attrapée alors que c’est lui qui s’est fait piégé. Que les hommes sont faibles !
    
    Une fois que nous avons repris nos esprits, je remets mon short et ma brassière tandis que lui renfile son bermuda. Il faut dire que nos corps ont eu le temps de sécher ! Aurélien se réinstalle derrière le gouvernail, je m’assoie près de lui sur un siège fixé sur la coque de bâbord. Soudain Aurélien me dit
    
    — Hélène, vous êtes vraiment une femme délicieuse ! J’adore votre tempérament de feu et j’espère avoir le plaisir de profiter encore un peu de vous avant votre départ.
    
    Je le regarde avec un grand sourire sans répondre. Il poursuit
    
    — Bien calé derrière vous tout à l’heure, j’ai eu tout loisir d’admirer le rivage et le paysage qui s’offrait à moi. J’aime naviguer en eaux calmes mais j’aime aussi m’aventurer dans des endroits plus dangereux. Prendre un aussi joli cul que le vôtre, c’est un peu comme franchir le cap Horn !
    
    Je lui réponds
    
    — Vous pourrez explorer avec moi tous les caps que vous souhaitez. Mais je vous demande la plus grande discrétion. Vous ne voudriez tout de même pas choquer votre père et votre fils par un comportant de goujat ! Et que penseraient-ils tous les deux de moi ? Que je suis la dernière des salopes !
    
    Il acquiesce
    
    — Oui Hélène, vous avez tout ...
    ... fait raison ! Soyons discrets pour mieux en profiter. Même si je ne doute pas que mon père vous trouve charmante, les jeux coquins ne sont plus de son âge !
    
    Très fière d’avoir réussi à lui donner le change, je lui réponds
    
    — Merci beaucoup Aurélien. Gardons nos distances devant tout le monde, nous n’aurons que plus de plaisir à nous retrouver en cachette !
    
    Une fois de retour à la villa, je me précipite sous la douche ; l’eau fraîche calme les morsures du soleil. Lorsque je rejoins notre chambre, nous avons encore près d’une heure avant le dîner. François est alangui dans un fauteuil devant la fenêtre grande ouverte et lit un roman. Une fois séchée, je lui dis d’une voix de chatte
    
    — Chéri, tu veux bien me passer de l’après-soleil sur le dos ? J’ai peur d’être toute rouge demain matin.
    
    Je suis allongée nue sur le lit, il s’approche, se met à califourchon au-dessus de mes jambes et m’enduit de crème. Il la répand bien, me malaxe pour la faire pénétrer et l’onctuosité du produit me fait le plus grand bien.
    
    Soudain il me dit
    
    — Je t’en mets aussi sur les fesses et l’arrière des cuisses. On dirait bien que tu as fait du bronzage intégral
    
    Je lui réponds
    
    — Oui, je n’ai pas pu résister. Je suis sûr que tu préfères me voir le corps tout hâlé !
    
    Il reste sans voix mais ses mains m’obligent à bien ouvrir les jambes. Il me masse les fesses, insinue bien ses doigts entre mes globes bien fermes. Je sais que dans cette position il a une vue plongeante sur ma chatte. ...
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