De père en fils .... (2)
Datte: 14/02/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... je recherche l’air comme si je me noyais mais c’est dans un océan de plaisir que je suis en train de sombrer.
Ses bourses cognent maintenant contre mes fesses, son pubis se frotte au mien. Le boa a pris possession des lieux et sa tête gonflée de sang frappe le fond de ma matrice. Je suis au bord de l’évanouissement tellement j’ai l’impression d’être envahie par un énorme corps étranger.
Mais voilà qu’Aurélien accélère lentement la cadence et sa bite coulisse maintenant avec la régularité d’un métronome dans ma chatte largement ouverte et généreusement lubrifiée. Après la queue du patriarche ce matin, je peux effectuer la comparaison avec celle de son fils. Je dirais qu’elles sont aussi grosses l’une que l’autre, que ma chatte s’adapte parfaitement à l’une comme à l’autre, cependant, je donnerais un léger bonus au fils. En effet, sa queue me semble bien plus dure que celle de son père, il faut dire qu’ils n’ont pas le même âge.
Une vague de plaisir remonte de mon ventre jusqu’à mes seins en irradiant autour de mon nombril. Je sens venir un orgasme puissant et je me laisse aller à encourager mon skipper de la voix
— Allez-y Aurélien, en avant toute !
— Hissez la grand-voile et tenez bon la barre !
A ses puissants coups de boutoir, je comprends vite que je n’ai pas affaire à un jeune mousse mais à un navigateur bien expérimenté. Les voiles claquent dans le vent, ses couilles claquent contre mes fesses, le catamaran prend de la vitesse, le mandrin coulisse plus ...
... vite en moi, le clapotis des vagues contre les deux coques se mélange aux bruits de frottement de nos sexes.
Soudain Aurélien me dit
— Allez moussaillon, virons de bord !
et de ses bras puissants, il me fait pivoter sur moi-même, toujours empalée sur sa queue, et me voici maintenant en levrette le visage dans la serviette de bain. Il m’enserre de nouveau la taille, retire entièrement sa queue et la replonge au fond de ma chatte. Même si je suis déjà bien ouverte, chaque réintroduction me fait l’effet d’une dilatation vaginale tellement sa queue reste grosse et bien dure. Je savoure le fait d’être ainsi possédée, voire éventrée, tout en sentant la caresse du vent partout sur mon corps.
Aurélien me crie
— Oh belle Hélène, je sens la lame de fond qui monte en moi. Que dis-je, c’est un véritable tsunami !
Je lui dis
— Allez-y mon capitaine, arrosez moi bien ! C’est un peu comme si nous franchissions l’équateur du plaisir !
Il me serre tellement que je ne peux plus bouger, il veut que je sois sa chose, la plage sur laquelle il va répandre son flot tumultueux.
Le voici qui se crispe, qui se soude à moi et un geyser de foutre éclate en moi. Il me prend, je m’abandonne, il se répand et je l’absorbe.
Alors que nous sommes encore emboîtés l’un dans l’autre, comme deux bois flottés gisant sur le rivage, je pense à cette chanson de Renaud « Ce n’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme… » et je me dis « Ce n’est pas l’homme qui prend ...