Le toboggan
Datte: 14/02/2022,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
voisins,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
hsodo,
attache,
baillon,
confession,
dominatio,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... paume sur la pointe, puis l’autre. Sa bouche vient les gober, les aspirer, les mordiller. C’est bon. Je pousse mon corps vers lui, mais il reprend son chemin. Il s’est agenouillé. Ses mains deviennent encore plus exploratrices. Je sens une tension. Il tire sur le fil qui est relié à l’œuf. Il joue avec. Lentement il le tire jusqu’à ce que je sente ma fente s’entrouvrir. Mais au lieu de continuer, il relâche la tension et l’œuf retourne dans la chaleur de mon vagin. Plusieurs fois ce petit jeu. C’est troublant.
Il se relève. Il tient toujours la ficelle et cette fois-ci, les yeux dans les yeux, il l’extrait définitivement. Nadia est à côté de lui et il lui donne l’objet.
Alors il se colle contre moi. Je sens sa puissance sur ma poitrine dont les tétons sont toujours exacerbés par le souvenir des pinces et des caresses. Je sens aussi une autre puissance contre mon ventre. Il est plus grand que moi, son sexe est dur. Sans me quitter du regard, il se baisse un peu, son mandrin se frotte contre moi et puis je ne le sens plus. C’est contre ma fente qu’il vient se placer. Une légère poussée et je m’ouvre sans résistante. Il est gros, mais je suis humide de toutes leurs caresses.
Il me regarde. Lentement son gland avance, il avance doucement alors que je vois l’homme monter tout contre moi. Je suis fascinée par cette lente ascension alors que dans mon ventre mes chairs s’ouvrent sous une poussée délicate, mais irrésistible. Je le sens en moi. C’est bon. Mes muscles du ...
... vagin l’emprisonnent. Mais cela semble sans fin. Il avance, avance, son mandrin monte, monte. Il me possède. Je gémis. Il me remplit d’autant que le plug est toujours là et que le dard le repousse dans mon conduit.
— Ahhhhhhh.
Ce n’est qu’un gargouillis qui doit sortir de mes lèvres. Je bave. Je dois avoir l’air vulgaire, dépravée, mais… Oh, mon Dieu, jusqu’où va-t-il aller. Je ferme les yeux. Je ne supporte plus ce regard conquérant et ce sourire de mâle qui sait ce que son mandrin déclenche.
Voilà, il m’a embrochée jusqu’à la garde. Même avec notre gros gode jamais je ne me suis sentie si « remplie » de ce bâton de chair, brûlant, palpitant.
Des mains sur mes fesses me soulèvent comme une plume. J’ai le réflexe de pousser mes jambes pour m’accrocher à celui qui me tient. Je ne touche plus terre. Le pervers, il ne me retient plus autant. Son sexe est une bite sur laquelle je glisse pour m’enfiler sans pouvoir me retenir, m’empalant de quelques millimètres de plus, mais toujours en équilibre.
Il recule, m’entraînant avec lui alors que mes poignets me bloquent. S’il me relâchait, je serais une balançoire, mais il ne le fait pas. Avec de grands coups de reins, il me baise. Sa bite ne quitte pas vraiment la chaleur de mon vagin, mais elle y bouge, déclenchant des ondes de plaisirs, ses mains sur mes hanches ne faisant que me retenir pour ne pas partir en arrière. Cela dure… une… deux… trois secondes ? minutes ? Je perds toute notion du temps. Je ne sens si bien, ...