1. Le toboggan


    Datte: 14/02/2022, Catégories: fh, ff, fhh, voisins, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, attache, baillon, confession, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... disponible, réceptive, à la merci de cet homme c’est vrai, mais qui n’est pas qu’à la recherche de son plaisir, ses yeux interrogeant les miens pour que je lui confirme que son « traitement » me convient.
    
    Oh que oui ! Être une femelle, juste une femelle, chasser toute retenue, toute honte, toute trace de bienséance ou d’éducation pour ne conserver que le principal. Le principal est question de circonstances. Ici, avec lui le principal… Oh, mon dieu, le principal, le proviseur, s’il nous voyait !
    
    Oui, baise-moi, je suis toute à toi, inconnue que tu imagines, collègue que tu n’envisages même pas !
    
    Je gronde, je crie, je supplie, je demande, mais rien ne sort de mon bâillon. Heureusement que Louis y a pensé. Il me connaît si bien et pourtant nous n’avons qu’une fois…
    
    Louis qui n’est pas loin. Que Martial invite à nous rejoindre en revenant à une situation plus stable si on peut appeler ainsi la façon dont je suis accrochée et chevillée à lui. Je sens une présence derrière moi et un miroir m’en confirme la réalité. Une présence qui cherche à retirer le plug. Mais il se défend, comprimé qu’il est par le mandrin de son colocataire. Pourtant il sort, mon œillet l’expulse, muscle s’opposant par principe à toute entrée ou sortie.
    
    Louis est contre moi. Je sens nettement son mandrin contre mes fesses, bâton dur comme une trique que mon cul connaît déjà… Oui, tu as le droit, tu as tous les droits ce soir y compris « cul ». Il le connaît, mais négocie pourtant. La ...
    ... pression est forte. Les corps des deux hommes sont mes frontières. Mais la raison l’emporte, si on peut appeler raison la loi du plus fort, d’un gland qu’une hampe pousse irrésistiblement et qui déclenche une onde de douleur. Mais ce n’est qu’une onde, aussitôt remplacée par l’étonnement, l’incrédulité alors que je le sens se frayer un chemin, repoussant le mandrin de son invité que je sens bouger.
    
    « Nonnnnnnnnn. Ce n’est pas possible. Tu ne peux pas… Tu n’arriveras pas… Tu vas me déchirer… Me rendre infirme pour la vie… Je ne suis pas salope au point que vous pouvez m’enfiler ainsi… »
    
    Mon bâillon me sauve. Sans lui j’aurais fait tout arrêter alors que déjà Louis se glisse dans mon cul, partageant l’espace avec son invité.
    
    — Ohhhhhhhhhhhh.
    
    Je le sens avancer. En avançant, il fait bouger la bite de Martial qui s’était immobilisé pour laisser son complice me prendre par mon petit trou.
    
    Un sandwich ! Un vrai ! Deux corps qui me bloquent. Deux queues qui me possèdent. Rien à voir avec les jeux avec Marc où il nous est arrivé de le faire avec un sex-toy. Ici ce sont deux bites bien dures, brûlantes. Mon ventre doit en montrer une déformation comme lorsque j’ai senti mon cou gonfler avec la bite de Louis et… Ohhhhh.
    
    Ils bougent. Chacun semble chercher sa place, son équilibre, se partager mon ventre. Ils bougent et c’est comme une partition. Avant de sombrer dans la folie de plaisir, j’ai la pensée que les deux hommes n’en sont pas à leur première fois et que leur ...
«12...121314...17»