Le toboggan
Datte: 14/02/2022,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
voisins,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
hsodo,
attache,
baillon,
confession,
dominatio,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... à l’oreille alors qu’il force mes lèvres avec une boule aussitôt fixée par la sangle qui fait le tour de ma tête.
Le miroir est éloigné, mais d’autres me permettent de me voir. Si la position est particulière, je n’ai pas à rougir de ce que je vois. Je suis belle. Le peu qui m’habille ne fait que souligner ma silhouette et le masque apporte le mystère.
Les deux hommes se déshabillent. J’ai déjà vu, une fois, Louis, mais jamais Martial. La comparaison n’est pas en faveur de mon Maître d’un soir. Son petit ventre ne fait que magnifier les abdos de Martial.
Je suis injuste, si je suis là c’est grâce à lui et j’ai le souvenir magnifique de sa prestation au jour de l’an.
— Aie !
Mon bâillon a rendu inaudible ce cri. Un cri suivit d’autres alors que les deux hommes assistés de Nadia jouent avec moi, se jouent de moi. Leurs mains apportent caresses ou punitions, elles me fouillent, aucune partie de mon corps ne peut leur échapper. L’œuf vibre et parfois une main plaquée sur ma chatte le repousse encore plus en moi. Le plug bouge lorsque je reçois des claques sur mes fesses. Je ne me vois plus dans le miroir, j’ai les yeux embués, embués de douleur, de plaisir. La douleur n’est pas si forte. Les claques ne sont pas vraiment appuyées. Celles de Nadia dans nos jeux de découvertes étaient plus fortes, données souvent avec une sorte de tapette ou un martinet. La douleur est autant par la surprise que par cette humiliation d’être prisonnière. Oui prisonnière, mais ...
... volontaire, immobilisée autant physiquement que par l’envie de savoir jusqu’où je suis prête à aller pour que mes jouissances soient fortes, impossibles à atteindre même avec mon mari qui pourtant sait me satisfaire.
Et puis cela cesse. Je découvre Nadia tout près de moi. Elle me fixe du regard. Ses yeux pétillent. Elle me montre le gros vibro qu’elle tient dans la main. Je le connais bien, il est d’une efficacité redoutable. Sa puissance lui vient de son branchement direct au secteur. Elle le promène sur mon corps, s’attarde sur les tétons faisant vibrer les pinces, descend lentement, me faisant languir me forçant à implorer du regard qu’elle veuille bien et… Oh, ma chatte, mon cul, mon ventre, tout mon corps vibre avec une quasi-douleur de mon clito sollicité encore et encore. C’est bon, étrange, même la boule qui me bloque la bouche transmet une onde. Je veux qu’elle continue. Nos regards ne se quittent plus, je suis comme un lapin hypnotisé par les phares d’une voiture.
Et puis cela cesse. C’est comme une trêve, mais je retrouve Martial devant moi. Ses yeux fixent les miens. La peur m’étreint, il va me reconnaître de si près. Le regard ne trompe pas. Pourtant il me sourit, aucun étonnement. Le masque me cache le visage, la boule déforme ma bouche, le maquillage est bien plus important qu’au travail et même mes yeux embués doivent me dissimuler.
Il sourit. Il me caresse. Il s’attarde longuement sur mes seins et mes tétons prisonniers des pinces. Il en enlève une, frotte sa ...