Le toboggan
Datte: 14/02/2022,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
voisins,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
hsodo,
attache,
baillon,
confession,
dominatio,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... pour ma main. J’entretiens l’un pendant que je pompe l’autre.
Et puis une secousse me surprend. Nadia vient de lancer l’œuf vibrant. Elle est aussi passée derrière moi et me caresse la croupe, me claquant les fesses après de douces caresses.
Mon Dieu si quelqu’un me voyait depuis chez nous. Heureusement, Marc est en province chez ses parents. Fils attentif pendant que sa femme se livre à des « horreurs ». Non, « horreurs » c’est un mot d’Agnès, pas d’Anaïs. Anaïs est une gourgandine, une courtisane, une prostituée, une soumise, une salope, une chienne, une chaudasse. Anaïs a jeté aux orties toute cette éducation restrictive.
Anaïs, suce, lèche, pompe, branle.
Anaïs gronde de cet œuf qui vibre en elle et qui résonne avec le plug de métal, transmettant à son corps des ondes de plaisir qui l’encouragent à les partager avec les deux hommes.
Anaïs reçoit avec gourmandise le foutre de Martial, Martial, un collègue dans une autre vie.
Anaïs reçoit aussi le foutre de son Maître.
A-t-elle le doit de comparer ? Comparer la puissance des éjaculations ! Comparer la qualité de la liqueur ? Son onctuosité ! Son goût ?
Anaïs a bien travaillé. Son Maître, l’invité et même Nadia, celle par qui tout a commencé, ont l’air satisfaits. Anaïs n’est pas qu’une esclave ! Son Maître a pensé à son plaisir. Elle aussi a joui ! Elle s’étonne même que sa jouissance ne soit pas que de quelques vibrations, aussi bonnes soient-elles, mais aussi de ce qu’elle vient de faire. Ce qui ...
... reste d’Agnès dans cette pourvoyeuse de plaisir, cachée tout on fond de cette personnalité libérée de toute contrainte, n’est pas insensible et ne proteste pas…
Le champagne, offert pour « services rendus », a le goût de la victoire, même s’il paraît fade, comparé aux liqueurs de mâle.
On se saisit de sa laisse un moment abandonnée. Elle suit celui qui l’entraîne, caravane étonnante qui déambule dans un couloir pour entrer dans cette pièce où un peu plus tôt, le temps de deux pipes, elle a laissé sa pelure et tout ce qui lui est attaché. Mais des souvenirs lui reviennent. Beaucoup d’objets la ramènent en arrière, et le miroir n’est pas le dernier, un miroir où son mari regardait…
— Oublie-le le temps de cette soirée. Ce n’est pas de ta faute s’il n’a pas assumé. Est-ce que toi tu aurais été choquée si tu avais assisté aux ébats de Nadia avec lui ? Bien sûr que non ! C’est la règle du jeu. Il t’en veut ! Il n’arrive pas à tourner la page ! Le mal est fait, autant en profiter surtout qu’il n’en saura rien. Alors que toi tu n’as connu que l’entrée d’un menu que tu envisageais gastronomique. Et ce soir il y deux chefs pour t’apporter les plats… Profite… Goinfre-toi… Demain sera un autre jour. Tu redeviendras l’épouse fidèle et tu tenteras de reconquérir ton mari…
Louis la dirige vers les menottes qui pendent du plafond. Deux menottes qui emprisonnent ses poignets et elle se retrouve prisonnière.
— C’est pour qu’il ne puisse pas t’identifier si tu parles.
Il me dit ...