Courir mène à tout. (3) - Histoires de Sexe

Courir mène à tout. (3)

... instants plus tard et se plaça entre ses jambes. Aussitôt, il sentit un contact froid sur sa rosette, puis un doigt s’introduisit dans son anus, suivi aussitôt par un autre. Instinctivement, il se contracta. Il voulait résister à cette intrusion.

— Minou ! Laisse-toi faire, détends-toi.

Comment faire autrement ? Il relâcha ses muscles et son sphincter et les doigts entrèrent. Il sentait maintenant qu’elle visitait ses entrailles. Il s’était attendu à ressentir de la douleur, il n’en était rien.

— Ah mais ! C’est que tu as un petit cul bien souple et qui s’ouvre facilement. J’ai une idée, attends…

Il tendait le cou pour la voir, elle était souriante. Immédiatement, il sut que ce n’était pas deux doigts. Maintenant, elle riait et il sentait qu’elle lui palpait la prostate. Les préparatifs l’avaient déjà bien excité, actuellement il sentait son sexe dur au possible.

— Oups ! Je n’ai pas fait exprès, je suis entrée jusqu’au poignet. Mon chou, tu es vraiment accueillant.

Il savait que ce genre de pratique existait, mais il n’avait jamais pensé qu’il bénéficierait de ce genre de traitement. Elle venait de libérer la place et tout aussitôt il se sentit rempli par autre chose. D’une main, elle lui tenait la hanche et de l’autre elle avait agrippé son sexe. En tendant son cou à l’extrême il put voir qu’elle portait un gode fixé sur une ceinture. Elle le sodomisait en riant. Petit à petit, de nouvelles sensations apparurent, un plaisir différent montait petit à ...

... petit. Dans ses yeux, il voyait qu’elle aussi avait du plaisir. Bientôt, une forte vague de jouissance le submergea, il gémissait de plus en plus fort. Il jouit d’une manière différente, son anus se contractait avec force contre le sexe artificiel. Simultanément, ils émirent de petits cris ponctués par des râles de jouissance.

— Oui, c’est bon, je t’aime.

— Je t’aime aussi. C’est la première fois que tu n’éjacules pas, c’est un progrès.

— Ha ha ha ! Je ne l’ai pas fait exprès, je pense que c’est parce que tu m’as épuisé.

— Ah ! d’accord, cela ne fait rien. Nous nous amusons bien tous les deux, c’est ce qui compte. Tout à l’heure, je ne l’ai pas fait exprès, enfin pas tout à fait.

— Oui, mon œil, mais ce n’est pas grave, j’aime ce que nous faisons ensemble.

— Tu sais, j’ai vu que tu aimais tout ce que je te fais. Je me dis que cela serait bien que tu fasses la même chose avec moi. En fait, cela fait un moment que j’y pense. Je suis heureuse de notre rencontre et de ce qui en découle.

— Ha ha ha ! En es-tu sûre ? Moi je veux bien, avec toi, je me sens très bien. Oui, même si je t’ai trouvée envahissante au début. J’ai adoré tout ce que tu m’as fait découvrir. Bon ! Maintenant, peux-tu me libérer ? Je voudrais aller faire pipi.

— Oui, d’accord, mais n’oublie pas, c’est moi qui commande.

Il la regardait en souriant en se disant qu’il avait de la chance de l’avoir pour amie. Cette envie pressante qui le tenait ne laissa pas le temps de le libérer. Un jet doré ...