Courir mène à tout. (3)
Datte: 13/02/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Faunus, Source: Xstory
... était un peu autoritaire, mais qu’avec un corps pareil elle pouvait se le permettre. « Ha ! J’aime son corps et en plus elle a de jolis petits seins à faire damner un saint. »
— Je t’ai entendu ! Mon minou, bouge tes fesses, sinon elles vont rougir. Merci tout de même.
Sans plus attendre, Alexandre se rendit dans la cuisine pour préparer ce qu’elle venait de lui demander. Il n’avait pas pris la peine de passer un vêtement, instinctivement il savait que cela ne serait qu’une perte de temps. Une fois la table préparée, il se rendit dans l’autre salle de bain pour se doucher. Tout en s’activant, il se disait que ces vacances supplémentaires tombaient à point et qu’elles seraient mémorables. À peine était-il de retour dans la cuisine qu’Éléonore fit son entrée. Elle aussi était nue, il la regardait pénétrer dans la pièce.
— Oui, tu es très jolie, mieux, tu es magnifique.
Ils s’étaient assis côte à côte et de temps à autre il sentait une main lui malaxer l’entrejambe. Ils mangèrent de bons appétits.
Cela faisait un petit moment qu’elle lui avait dit de monter et de s’installer sur la table les yeux bandés. D’être ainsi dans le noir il trouvait cela excitant. Il ignorait les projets de sa maîtresse. Il était en érection. Depuis quelques minutes, il écoutait avec attention les bruits de la maison. Il se dit qu’elle pouvait être tout à côté. Peut-être avait-elle le martinet à la main, ou le fouet ? Il sursauta quand les mains prirent son bras pour l’attacher au-dessus ...
... de sa tête. Le second fut rapidement fixé dans la même position. Bientôt, ses pieds se retrouvèrent liés. Presque aussitôt, Alexandre entendit le bruit de cliquet, rapidement il sentit ses membres étirés. Il se dit que plus immobilisé et offert que cela ce n’était pas possible.
— Hum ! Oui, je te trouve magnifique. En plus, tu as une belle érection.
Au même moment, il sentit un coup sur sa verge. Par réflexe, il essaya de basculer son bassin, mais en vain il était immobilisé.
— Aïe !
Des doigts lui tiraient maintenant les tétons et les pinçaient avec vigueur. Dans l’instant qui suivit, il sentit la morsure du métal sur ses tétines. Son sexe lui faisait mal, mais c’est parce qu’il bandait fort. Une main lui tenait le sexe et ses tétines étaient tirées en cadence. Éléonore venait de s’asseoir sur sa verge, il sentait maintenant la chaleur de sa vulve. Il avait été surpris par le contact, cela l’excitait d’autant plus. Elle le chevauchait en silence, un silence maintenant rompu par le bruit de succion humide. Elle agissait brutalement avec son bassin, il la sentait s’empaler avec force sur la verge érigée. Alexandre sentait ses tétines mises à l’épreuve par les secousses imposées. Le plaisir arrivait, il essayait pourtant de se contenir. Sa cavalière dont il imaginait le sourire triomphant augmentait la fréquence. Il l’entendait maintenant gémir de temps à autre. Il se dit qu’elle aussi allait jouir. Une main vint lui prendre les bourses. Il était tenu de toute part. ...