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Le projet artistique (25)
Datte: 13/02/2022, Catégories: Gay Auteur: Yojik, Source: Xstory
... quelques jours. Esteban : Restés seuls n’était pas un problème en soi mais avec les mains complètement bandées on ne pouvait rien faire par nous-mêmes. Heureusement, notre mère gardant des enfants chez elle, elle pouvait être là pour nous. Du coup, nous laissâmes tomber la prépa pendant une bonne semaine. Felipe : Et même plus au final, car les flics débarquèrent le vendredi suivant. Notre mère fut très alarmée de les voir venir. Ils la rassurèrent un peu en lui disant qu’a priori nous nous étions plutôt comporté en sauveurs qu’en agresseurs. Mais ils voulaient en avoir le cœur net. Nous fûmes convoqués au commissariat le lundi suivant. Esteban : Les flics nous montrèrent des photos des types avec qui nous nous étions battus. Nous les reconnûmes tous, moi certains et Felipe d’autres. Nous demandâmes si les filles allaient bien mais ils nous répondirent que ce n’était pas nos affaires. Ils nous indiquèrent également que nous ne devions avoir aucun contact avec les autres protagonistes tant qu’ils ne seraient pas certains du déroulé des évènements. Nous fûmes donc bon pour rester cloîtrer dans notre appartement avec notre mère. Felipe : Nous pouvions quand même retourner en prépa. Mais dans ce quartier les nouvelles allaient vite et les mecs qui avaient agressé les filles rodèrent aux alentours du lycée. Nos parents parlèrent de ce point avec le proviseur. Ils convinrent ensemble qu’entre nos mains bandées, le mois de juin presque là, notre sécurité pas assurée ...
... nous devions éviter de revenir. Nous fûmes très déçus. Nous sentions que cette affaire risquait de ruiner nos efforts scolaires. Esteban : Nous tournâmes vite en rond. Nous n’avions pas trop de visites, quelques mecs du quartier passèrent une ou deux fois mais avec les petits que gardaient notre mère nous ne faisions pas ce que nous voulions. Il y avait une infirmière qui venait tous les jours puis tous les deux jours pour changer les bandages. Elle était beaucoup moins jolie que les filles et elle s’occupait de nous de façon un peu trop mécanique, comme un travail à la chaine. Felipe : Nous repensions à chaque fois au moment où Sylvie et Carine nous avaient soigné. Ça nous émouvait à chaque fois fortement. La nana pensait que c’était elle qui nous faisait de l’effet. Faut dire que quand elle avait fini, elle pouvait voir dans nos pantalons une belle bosse se dessiner. En même temps, avec nos mains blessées nous ne pouvions pas nous soulager nous-mêmes alors nos sexes avaient tendance à partir en quart de tour. Esteban : Du coup, un jour que notre mère était sortie promener les enfants, elle nous proposa de nous soulager. Elle nous dit qu’elle était désolée de l’effet qu’elle faisait sur nous. Donc elle pouvait nous faire une branlette dans la salle de bain pour nous vider un peu. Elle nous dit qu’elle comprenait bien que nous étions dans l’impossibilité de le faire et qu’à notre âge il fallait vider le trop-plein régulièrement. Felipe : Nous acceptâmes sans trop ...