1. Le projet artistique (25)


    Datte: 13/02/2022, Catégories: Gay Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... réfléchir, enfin ce fut notre queue qui réfléchit à notre place. Elle nous emmena dans la salle de bain chacun notre tour. Elle commença avec moi. Elle mit un gant en latex. Elle sortit mon sexe, le prit entre trois doigts et commença son affaire. Elle ne me regardait pas, ne me parlait pas, à peine jetait-elle un œil à ce qu’elle faisait. Je pensai alors à Carine pour me motiver car avec ce traitement nous n’allions nulle part. Je sentis alors ma sève s’agiter un peu mais elle ne s’y prenait pas bien. Le temps passait, elle avait d’autres rendez-vous et ma mère pouvait rentrer. Et puis Esteban devait y passer ensuite. Elle se décida subitement à me sucer un peu. Mon dieu quelle déception ! Elle s’y prenait de la même façon que pour sa branlette. Mais au moins cela me fit un peu plus d’effet. Je luis dis que j’allais bientôt venir, elle arrêta là sa fellation et me finit au-dessus du lavabo. Rapidement, quelques jets blanchâtres atterrirent dedans. Elle me nettoya vite fait, médicalement.
    
    Esteban : Elle m’appela ensuite. Elle recommença le même manège qu’avec Felipe : gant en latex, trois doigts et un silence pesant. Ce n’était vraiment pas le pied. Je m’imaginai Sylvie à la place de l’infirmière. Je l’imaginai faire ça avec beaucoup de douceur, de doigter. Cela me faisait de l’effet au niveau du sexe mais pas suffisamment pour jouir. Comme pour Felipe, à ce train-là on y aurait encore été au retour de notre mère. Elle râla un peu et m’emboucha comme elle avait emboucher ...
    ... Felipe. Je ressentis la même déception que lui. J’avais l’impression qu’une machine mal réglée s’occupait de mon sexe. Mais ça faisait un peu plus d’effet que ses doigts. Je sentis enfin mon sperme monter le long de ma colonne de chair. Je l’avertis et elle me vida au-dessus du lavabo. Puis elle me nettoya mécaniquement.
    
    Felipe : Elle s’en alla rapidement après ça. J’avais les couilles un peu plus vides mais mon cœur aussi était vidé. J’avais eu une certaine satisfaction physique mais il me manquait quelque chose. J’en parlai le soir avec Esteban dans notre petite chambre de HLM.
    
    "Dis, Seb, ça t’a plu avec l’infirmière ?"
    
    "Bof, j’ai dû penser aux filles pour arriver à jouir, Fil."
    
    "Moi c’est pareil."
    
    "Dis tu crois qu’on les reverra ?
    
    "J’aimerais bien Seb. J’aimerais bien."
    
    Esteban : Quelques jours passèrent encore. A chaque fois, elle nous proposait de nous branler vite fait, mal fait. Mais maintenant nous refusions poliment. Nous nous étions laissés aller bassement à la recherche d’une satisfaction physique primaire. Mais nous n’avions pas besoin de ça. Pas que de ça. Si nous voulions avoir du plaisir nous nous masturbions nous-même du bout des doigts avec les deux mains. Nous avions un peu galéré à trouver la bonne technique. Ce n’était pas parfait mais en pensant aux filles ça nous permettait de jouir dans de meilleurs conditions émotionnelles.
    
    Felipe : Et puis un soir tard, nous nous branlions chacun sur notre lit, cachés sous nos draps.
    
    "Ça fait ...
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