Le cousin Coco - Histoires de Sexe

Le cousin Coco

... naïve, réceptive à ses avances.

Ça marche. La mayonnaise prend entre nous deux, prend avec le public.

Notre jeu sensuel chauffe tout le monde. Je suis adossée à la barre, face au public, Jessica derrière moi fait glisser les bretelles de ma robe. Au moment où elle tombe, je tourne pour venir derrière Jessica lui défaire les nœuds de sa culotte qui tombe aussi. Elle m’enlace pour me galocher seins contre seins, privant ainsi le public de notre nudité. Pour ne pas le frustrer, main dans la main, l’une à côté de l’autre, nous les saluons. Applaudissements. Nous prenons la pose. Les spots de scène s’éteignent.

Jessica me tire dans les coulisses :

— Chapeau, Caroline, vous avez des talents cachés. J’ai encore du boulot. Nous nous revoyons vers 1 heure dans ma loge. Demandez le chemin.
— Pas de souci. Nous, nous continuons notre visite des lieux.

**********

— T’es une sacrée nana, me complimente le cousin. Ça t’a fait quoi ?
— On en parle plus tard. Y a plein de choses à voir.

Nous voilà dans la partie orgie. Il y a des alcôves masquées, mais pas celle-ci. De l’autre côté de la baie vitrée, une grande salle avec tables basses, divans, canapés, super grands lits, fauteuils, et dessus, dedans, tout plein de personnes à poil jouent coquinement. Coco est à la fête.

— Cousin, je ne peux y entrer à cause de ma virginité, mais toi, vas-y.
— Ah non, je suis voyeur.

C’est logique. Laissons-le se régaler. Pour moi, ce spectacle est un cours d’éducation ...

... sexuelle. Mon dieu, ça commence fort. Une fille doublement pénétrée en suce un troisième. Ça se fait ? Quelles sensations ressent-elle ? Houlala… Je suis troublée.

Là, un garçon avec deux filles. Ici, une fille prise en levrette fait un cunni.

Là, c’est une histoire de garçons, non, un sein dépasse. Tant de garçons sur une nana !

J’en ai des choses à apprendre. Un jour, je ferais ces trucs, j’en ai un petit gloussement.

Et la morale dans tout ça ? Ces couples qui d’un commun accord se mélangeant, se prêtant à ces jeux coquins doivent en retirer un plaisir personnel égoïste qu’ils partagent à deux plus tard, mais comment ?

Me voilà voyeuse à l’égal du cousin qui se frotte la braguette d’en avoir plein les yeux. Un truc de dingue me passe par la tête :

— Veux-tu que je te suce ?
— S’il te plaît.

Me voilà accroupie, sa queue en bouche.

— Lentement, s’il te plaît.

Un monsieur s’approche :

— M’sieur Dame, j’peux mettre vers vous, ma femme est dedans, j’aime pas être seul.
— Pas de problème, dit Coco.

Le monsieur me regarde :

— C’est sympa… Ma p’tite dame, faites comme si j’étais pas là…
— Hon hon…

Le voilà qui se branle lentement, ce doit être une particularité de voyeur. Un truc plus fou me passe par la tête :

— Voisin, je vous suce aussi ?
— S’il vous plaît… Merci.

Me voilà la nouvelle queue en bouche, le gland juste, le diamètre est impressionnant.

— Lentement, je vous prie…

Y sont exigeants, ces voyeurs ! Et moi, pourquoi je ...