Le cousin Coco - Histoires de Sexe

Le cousin Coco

... dessous, sur le côté, cela m’amuse beaucoup.

Roulez jeunesse… La queue m’échappe, je la regobe vite. Sa bouche s’ajuste sans cesse à mon minou. Double sensation de sucer et être languée.

Nous jouissons en décalé…

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PS : langué existe bien, mais ne veut pas dire ce à quoi je fais allusion.

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Nous ne savons pas à quoi ressemble ledanse floor ou le cabaret. À 22 h, nous faisons notre entrée. Je précise que nous sommes habillés, je n’ai que ma robe sur le dos.

Lumière tamisée, musique envoûtante de jazz-slow. Un bar, des tables en fer à cheval autour d’une piste de danse, dans le dernier quart, une estrade avec des barres depole-danse. Le décor est planté. Une hôtesse me prend la main :

— Vous avez une table de réservée, suivez-moi.

Je prends conscience que l’on s’occupe de moi donc il allait se passer un truc. J’en ai un frisson clitoridien. Nous ne nous posons pas de question. Nous commandons des cocktails sans alcool. Le DJ passe au disco de transe, allons-y. J’appelle ça la transe parce qu’on fait du sur place en ayant la tête ailleurs. Loïc et moi entrons dans une sorte d’ondulation sur place dans de la fausse fumée colorée par laser.

La musique s’arrête, reprend, lascive, des spots éclairent les barres, trois filles y sont collées. Dont mon inconnue qui m’a convoquée. En accord avec la musique, elles miment la séduction avec l’aide des barres. Toute la salle est sous le charme de ces trois séductrices qui semblent ...

... s’adresser à chacune, chacun. L’inconnue me jette des regards brefs, mais appuyés. Je dois avoir l’air un peu cucul. Je me réfugie dans la fille timide et rougissante de tant d’attentions.

Loïc témoin de ces échanges visuels :

— Le mystère s’éclaircit. Ça va être ta fête, ma cousine.

Il n’a pas tort. Le stress court en moi surtout que les lumières diminuent. Par magie, elle reste seule à la barre. Ouille ! Vu son regard, ça va être ma fête, mon cœur bat à cent à l’heure. La musique s’atténue, elle se campe face aux tables :

— Il n’y a que de belles nanas, ce soir ! J’en ai repéré une nouvelle et toute timide.

Elle vient vers moi, me prend la main, me tire debout :

— Mademoiselle a un prénom ? Le mien est Jessica.
— Caroline.

Le DJ met une célèbre valse.

— Caroline, savez-vous valser ?

Je prends place devant elle. Des applaudissements. Nous faisons quatre-cinq tours pour finir devant et grimper sur la mini estrade avec les barres depole-danse. La musique s’arrête. La salle est silencieuse. Les spots se braquent sur nous. Il va m’arriver des trucs… Jessica se fait pressante :

— T’as un soutif ?
— Non.
— T’as une culotte ?
— Non.
— Tant pis pour toi…
— Tant pis pour vous aussi. Si je n’ai qu’une robe, vous n’avez qu’une culotte.

Applaudissements. Le DJ met de la musique érotico émotionnelle. Jessica me plaque contre une barre, roule contre moi, exagérant un jeu de séduction. Il faut que je me mette dans son rythme en vitesse. Je vais être la fille ...