Le cousin Coco
Datte: 11/02/2022,
Catégories:
f,
fh,
ff,
grp,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
initiat,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
Étudiante, ne connaissant que des plaisirs solitaires agrémentés de soirées saphiques me procurant la zénitude de mon esprit, je n’imaginais pas faire mon entrée dans le monde de la sexualité par un biais que je pensais tabou.
Un cousin allait bouleverser le chemin que je voyais tout tracé.
Loïc, dit Coco, mon cousin et moi avons le même âge. Je crois que nos parents se disaient cousins par arrangement tacite, personne ne savait comment les aïeux avaient manigancé la chose. Des histoires de coucheries séculaires et nous croyions nos aïeux sages et prudes.
Loïc est un joli prénom, alors pourquoi Coco ? Tout petit, il bassinait tout le monde avec ses cocos en parlant des œufs de poules.
Lors de réunions familiales, Coco me regardait par en dessous et surtout par en dessous mes jupes.
Pour voir quoi ? Je ne comprenais pas. Quand tu es gamine, tout le monde voit ton fond de culotte. Culotte de coton, collants de laine.
Mais nous prenions de l’âge. Quand j’écartais les cuisses un peu, son regard se scotchait sur l’ouverture… Ma culotte avait donc un attrait particulier. Je refais le coup à d’autres garçons et je réalise l’automatisme suivi de l’intérêt du regard masculin du sous-les-jupes-des-filles.
Coco fut mon terrain d’essai. Il eut droit à mes débuts de sans culotte que je faisais en cachette des parents. Quel plaisir de voir son intérêt ! S’en est suivi d’autres gamins et des vieux, faut pas croire… Cela deviendra une habitude qui me procura de ...
... multiples émois internes, suivis de mémorables masturbations.
Donc au gré des fêtes de famille, Coco rougissait en m’embrassant à son arrivée puis son regard ne décollait pas de mes genoux. Je voyais son humeur selon que j’ouvrais ou pas. C’est tout juste s’il ne me fusillait pas du regard si j’étais culottée. Je la posais en douce, son œil devenait velours. Cela devenait un rituel divertissant que nous avions à l’insu des grands dans ces repas ennuyeux. Il a vu l’évolution de mon minou, sans poil, les premiers, puis la petite touffe.
Ce rituel nous emmenait vers des plaisirs solitaires que nous nous sommes avoués bien plus tard. Moi, découvrant le clitoris et son importance vitale. Lui, la branlette salvatrice sous les draps ou ailleurs. Je me rends compte aujourd’hui que je ne me suis jamais intéressée à sa braguette. Un jour, un psy m’expliquera…
Les cousins ont déménagé, nous nous sommes perdus de vue.
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Puis un beau jour à la fac, on me tape sur l’épaule :
— Salut, cousine !
— Oh punaise ! Coco ! Toi, ici !
Plus tard, partageant une pizza, nous plongeons dans nos souvenirs et immanquablement avec quelques confidences intimes :
— Cousine, tu m’as fait bander des sacrés coups !
— Et tu t’es branlé grave ! affirmé-je en riant.
— J’t’explique pas ! Et toi ?
— Tu m’as fait prendre conscience du pouvoir de ma petite culotte.
— Tu as un fiancé ?
— Même pas en rêve !Sex-friend entre copines… Et toi ?
— Personne, même pas entre mecs. On faisait ça, ...