1. Une histoire bien banale.


    Datte: 10/02/2022, Catégories: f, fh, frousses, candaul, Collègues / Travail grossexe, hotel, cérébral, pénétratio, Auteur: Jimmychou, Source: Revebebe

    ... découverte matinale de cet énorme appendice qui me met dans tous mes états ?
    
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    — Je suppose que tu vas passer la soirée avec la jeune personne qui t’a si gentiment accueilli la nuit dernière, déclaré-je à Richard alors que nous venons de quitter le stand pour retourner à notre hôtel.
    — Malheureusement, ça ne va pas être possible, elle est invitée à dîner chez une cousine qui habite à une trentaine de kilomètres du centre-ville. J’ai peur que tu doives supporter mes ronflements cette nuit.
    
    Je ne dis rien, mais ma chatte parle pour moi. Une fois dans la voiture, Richard effleure à nouveau ma cuisse en enclenchant la vitesse, et je fais mine de ne pas m’en apercevoir.
    
    — Je présume que tu vas vouloir prendre une douche, me demande mon chef alors que nous nous dirigeons vers l’accueil de l’hôtel pour prendre les clefs.
    — En effet.
    — Ça t’embête si je passe à la chambre avant pour récupérer un truc.
    
    Je ne réponds pas, mais laisse Richard me suivre. Il ouvre la porte et se décale sur le côté pour me laisser entrer.
    
    Mon cœur bat la chamade et j’ai l’impression que ma chatte bouillonne littéralement. Alors que je me dirige vers mon lit, je sens deux mains puissantes se poser sur mes hanches.
    
    Choquée, je me retourne pour gifler Richard, mais il bloque mon bras et me fixe avec son regard incroyable avant de plaquer ses lèvres contre les miennes.
    
    Je tente de le repousser sans conviction, mais j’ai trop chaud au minou et cède bien vite avant d’ouvrir ma ...
    ... bouche et de permettre à nos langues de se mêler dans une sarabande déchaînée.
    
    Richard doit avoir des dons de prestidigitateur, car moins de deux minutes plus tard, nous sommes entièrement nus, alors que je me suis juste contentée de baisser son caleçon pour faire jaillir son dard indécent gonflé par le désir. Étendue sur le grand lit, jambes écartées, je regarde, sidérée, le monstre tendu vers moi, attendant avec fébrilité qu’il vienne me remplir.
    
    Je gémis de satisfaction lorsque le pieu démesuré s’enfonce doucement, écartelant mes chairs intimes tout en embrasant mon bassin. L’orgasme qui me submerge lorsque le gland turgescent percute ma matrice est juste fabuleux.
    
    — Je t’en prie. Prends ton temps, je vais en profiter pour passer un coup de fil.
    
    Je ressors à l’extérieur du bâtiment et je compose le numéro de Pierre.
    
    — Coucou mon amour, commence-t-il d’une voix enjouée. Comment vont les affaires ?
    — Plutôt bien mon chéri. Plutôt bien.
    — Vraiment ? Je sens que tu as des choses croustillantes à me raconter.
    — Tu me connais par cœur.
    — En effet… et toi tu sais parfaitement ce qui m’excite plus que tout.
    
    Je relate alors à mon époux, plus attentif que jamais, les différentes péripéties liées à la réservation de la chambre sans lui cacher l’épisode matinal au cours duquel mon responsable s’est arrangé pour me dévoiler ses attributs d’étalon.
    
    — Je vois que ce monsieur ne recule devant rien pour séduire une magnifique quadragénaire, déclare Pierre. Et j’ai bien ...
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