1. Une histoire bien banale.


    Datte: 10/02/2022, Catégories: f, fh, frousses, candaul, Collègues / Travail grossexe, hotel, cérébral, pénétratio, Auteur: Jimmychou, Source: Revebebe

    ... d’eau cesse et j’entends Richard qui s’essuie. De nouveau, un robinet se met à couler, ce qui me laisse supposer que mon chef se rase.
    
    Au bout de quelques minutes, la porte de la salle de bain s’ouvre et le responsable commercial de la boîte en sort dans le plus simple appareil.
    
    Mes yeux se sont habitués à la semi-obscurité et je peux apercevoir aisément le système pileux luxuriant et les volumineux attributs sexuels du mâle nu. Le tuyau qui pend entre ses jambes me semble démesuré, et le choc de cette découverte me procure une sensation étrange. J’ignore si Richard s’est rendu compte que je n’ai rien loupé de son anatomie, mais il ne semble pas pressé de se rhabiller.
    
    Je sens qu’une certaine moiteur est en train de gagner l’intérieur de mes cuisses. Finalement, l’homme se dirige vers sa valise d’où il extrait un caleçon qu’il enfile avant de passer une chemise propre et un pantalon de toile. Puis il chausse des mocassins en daim avant de quitter discrètement la chambre pour, je suppose, rejoindre la salle du petit déjeuner. Je décide alors de me lever à mon tour, mais l’image du membre viril majestueux me revient en mémoire et je n’ai d’autre option que de me masturber frénétiquement en imaginant qu’un individu ressemblant fortement à Richard me prend sauvagement sur le lit.
    
    Enfin calmée, je me dirige à mon tour vers la douche, et vingt minutes plus tard je retrouve mon chef à la table qu’il occupe au restaurant.
    
    — Bonjour Christine. Bien dormi, j’espère. Tu ...
    ... as sans doute remarqué que tu as pu jouir de la chambre à ta guise. J’ai en effet trouvé une jeune personne charitable prête à accueillir un SDF pour la nuit.
    
    Richard me fixe alors avec son regard perçant avant de continuer.
    
    — Tu as les yeux tirés on dirait. Ne me dis pas que tu as fait des folies de ton corps toute la nuit.
    
    Je ne peux m’empêcher de rougir tout en essayant de m’en sortir par une pirouette.
    
    — Ben oui, on t’a attendu hier soir pour la partouze, mais comme tu avais visiblement mieux à faire, on s’est débrouillé sans toi.
    
    Richard éclate de rire alors qu’une serveuse s’approche en apportant une théière pleine d’eau chaude.
    
    Jean blanc, cache-cœur fuchsia, petite veste cintrée et bottines à talons, telle est la tenue que j’ai choisie pour ma première journée au stand. J’ai pas mal de rendez-vous planifiés avec divers prospects et clients et je n’aurai pas le temps de m’amuser.
    
    Richard se montre plutôt charmant même si je trouve qu’il s’arrange parfois pour poser, sans véritable raison, ses mains sur mes épaules ou mes hanches. À un moment, alors que je me lève pour étirer mes membres, j’ai le temps de sentir son gros paquet effleurer mes fesses et je suis certaine qu’il l’a fait exprès.
    
    Je devrais m’en offusquer, mais d’une part je ne vais pas faire d’esclandre en public, et d’autre part ce contact furtif provoque une légère lubrification de ma chatte.
    
    Je ne comprends pas vraiment ce qui m’arrive, mais je ne me reconnais plus. Est-ce la ...
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