Une si jolie montre - Histoires de Sexe

Une si jolie montre

... feuille. Dites-moi, il n’y a pas beaucoup de monde aujourd’hui chez vous. D’habitude, je croise au moins un ou deux clients. Mais d’habitude, je passe un peu plus tôt d’habitude.
— Il y a des jours avec et des jours sans… Mais vous seriez sans doute étonné si je vous disais que, ce mardi, c’est un bon jour avec.
— Une bonne vente ou une bonne cliente ?

Tandis que j’entends le bruit d’un papier qu’on déchire, Antoine confie :

— Plutôt la seconde option !
— Vous êtes toujours aussi filou, Monsieur Masselet. Je resterais bien bavarder de la chose avec vous, mais je suis déjà en retard, il faut que j’y aille… Mais j’espère que vous me raconterez ça une autre fois.
— Pas de souci. Bonne tournée et bonne fin de journée !
— Merci ! À demain !

Puis j’entends la sonnette tinter ainsi que la porte se refermer. J’ai bien cru un moment que l’artisan allait montrer au facteur ce que j’étais en train de faire !

— Je parie que vous avez cru que j’allais révéler votre présence au facteur !

Je retire sa verge bien dure de ma bouche :

— Vous lisez dans les pensées ou quoi ?
— Non, je n’ai pas ce plaisir, je ne suis pas télépathe, hélas. Mais vous avez d’abord sursauté, puis vous avez un peu tremblé.
— On ne peut rien vous cacher !
— Il faut dire que j’avais une sonde sensible située dans un très bon endroit !

Disant ceci, il pose carrément sa verge sur mes lèvres, puis ajoute :

— Et si nous continuions à partir de l’endroit où nous en étions restés ?

Pour ...

... toute réponse, j’enfourne son phallus toujours raide, m’activant à nouveau sur la colonne de chair palpitante, tout en cajolant des boules pendantes. Antoine plonge ses doigts dans mes cheveux. Appliquée, je passe de longs moments à faire monter petit à petit la tension, espérant que nous ne serons pas interrompus par un autre visiteur !

Entre deux soupirs d’aise, j’entends au-dessus de moi :

— Je suis en train de regretter de ne pas être mon cousin… Il avait raison quand il disait que vous étiez une bonne affaire !

Très vite, la jouissance est à nouveau proche, je la sens, elle est là, frémissante, prête à bondir, à jaillir ! Je le sais grâce à ma science des sucettes que j’ai apprise sur le tas, si je puis me permettre de le dire ainsi !

— Outch ! J’en peux plus !

Mû par une impulsion subite, l’horloger enfonce sa queue plus profondément dans ma bouche, à l’orée de ma gorge, il est clair que l’heure est arrivée, la source va très bientôt se vider dans ma bouche ! Dans un dernier sursaut de lucidité, ses mains dans mes cheveux, Antoine demande quand même :

— Sandra, puis-je me permettre de me laisser complètement aller ?
— Hmm-hmm !

Il entame alors un mouvement de pistonnage entre mes lèvres humides, tandis que ma langue agile flatte toujours son gland devenu si sensible.

— Aaah ! Que c’est bon ! Avale-moi tout ça, petite ribaude ! Aaah !

Le sperme se déverse en diverses petites cascades, tapissant sans répit le fond de ma gorge. En bonne salope que ...