Une si jolie montre
Datte: 08/02/2022,
Catégories:
fh,
inconnu,
lunettes,
magasin,
Oral
occasion,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... progrès !
Je lui adresse un grand sourire lumineux :
— Cette source est visitable tout de suite ?
— Il vous suffit de faire le tour du comptoir, par ici.
Il joint le geste à la parole. Je fais comme il vient de me dire, et très vite, je me retrouve face à lui. Durant ce temps, l’horloger n’a pas perdu de temps, puisque son service trois-pièce m’attend déjà, déballé au grand jour ! Désignant sa queue bien raide et ses testicules à l’air, il s’amuse à dire :
— Je me suis permis de vous faciliter le travail.
— Je vois ça, vous êtes organisé.
— L’horlogerie est un domaine qui nécessite de la précision et aussi de l’organisation.
Je m’accroupis pour venir flatter les testicules bien ronds, puis je le branle doucement durant quelques instants. Je donne ensuite quelques coups de langue sur le gland luisant avant de le prendre en bouche, tout en lui palpant les couilles. Après quelques agaceries, je commence une belle sucette suave.
— Mon cousin avait raison, vous avez du doigté.
Je continue de le sucer avidement, m’appliquant au mieux, afin de récompenser cet artisan à sa juste valeur.
— Si je me laissais aller, je dirais volontiers que vous sucez comme une vraie salope confirmée ! Si je puis me permettre.
Je délaisse momentanément son chibre pour répondre :
— Je ne suis pas contre les mots un peu crus… Monsieur…
— Mon prénom est Antoine…
— Je le savais, mais je n’osais pas l’utiliser.
— Vous pouvez vous permettre, Sandra. D’ailleurs, vous vous ...
... permettez déjà bien des choses avec moi…
En réponse, je m’active de plus belle sur la verge offerte et tendue, tout en câlinant les couilles ballantes. Les yeux fermés, Antoine caresse mes cheveux. Très vite, la jouissance est proche, je le sais à la façon dont le chibre réagit. Depuis le temps que je procure des sucettes, je commence à m’y connaître.
— Ah merde !
Je suis étonnée par cette interjection typiquement française. L’explication vient aussitôt.
— Le facteur va entrer, mettez-vous sous le comptoir, s’il vous plaît.
À ces mots, je délaisse le vit luisant de salive :
— Le… le facteur ! ?
— Oui, le facteur. Mettez-vous sous le comptoir, ici. Ainsi, il ne vous verra pas. Mais que ça ne vous empêche pas de continuer, chère Sandra.
— Vous êtes un petit pervers, vous !
— Un gros pervers, plutôt !
Je m’exécute, continuant de la sucer tandis que la porte de la boutique s’ouvre. C’est bien la première fois que je me trouve plongée dans une telle situation ! Mais je dois reconnaître que c’est assez excitant !
— Bonjour à vous, Monsieur Masselet !
— Bonjour, Facteur ! Que m’apportez-vous de nouveau en ce jour ?
— Un peu de tout, comme vous le constatez…
On pose quelque chose au-dessus de ma tête. Après un bref silence, l’horloger dit :
— Ah, en effet… Merci… Ah ça, ça ressemble à une lettre des impôts, je n’aime pas trop ce genre de courrier.
— Personne n’aime, moi le premier ! Je crois que c’est la taxe foncière, c’est la saison de ce genre de ...