Les coulisses de la mission - Histoires de Sexe

Les coulisses de la mission

... derrière a rugi de satisfaction et a cessé la cadence en se penchant sur son dos. Il a dit à Charlène :

— Tu vois ?

Celle-ci a exprimé son assentiment en se calant derrière Simon. Milly sentait, dans son sexe de femme, le membre faire des pulsations, se raidir encore plus tandis que doucement, Charlène s’insérait entre les fesses de son homme. Ce dernier a bougé un peu, s’affaissant contre le dos de Milly tout en poussant son accord à Charlène. Il a cessé de bouger. Milly s’est appuyé sur ses coudes, s’est retourné pour apercevoir Charlène nue, une main sur l’épaule de son homme. Et sourire :

— Je mène la danse maintenant.

Et Charlène n’a pas menti. Milly ne faisait que subir les contrecoups que Simon recevait. Celui-ci s’est affalé sur le corps de Milly et Charlène nous dominait tous. Elle parlait encore à son compagnon, d’une voix moqueuse :

— Tu aimes ça toi aussi, l’avoir dans le cul, hein ?

Simon obéissait dans l’immédiat, son membre pulsant à chaque mouvement chez Milly.

— Comme je t’ai donné ce que tu souhaitais, tu me donneras enfin la combinaison de ton coffre…
— Quoi ?
— Comme je te dis : deux pour toi, ton fantasme et en échange, ton coffre dans la chambre…
— Mais Charlène…

Il n’y avait pas de discussion, Charlène accélérait la cadence, Milly le sentait bien et Simon gémissait, ne sachant s’il était heureux d’être au centre du train, ou s’il se sentait coincé, pris de chantage.

— Alors ?
— Oui oui, Charlène, je te donne tout, ...

... tout ce que tu veux, tout…

Plus tard, j’ai repris mes esprits. Simon s’était retiré, assis par terre, exténué et Charlène toujours debout essuyait son pénis. J’avais le cul en feu, j’avais joui terriblement, et ma queue esseulée était encore ferme, je n’avais pas éjaculé. Charlène l’a remarqué.

— Milly ! Tu n’as pas joui ?
— Oui oui, mais…

Charlène, en se rhabillant, m’a pointé Simon, je lui ai souri et sans plus de discussion, je lui ai ma queue de travesti en bouche. J’ai giclé rapidement. J’étais en sueur sous mon débardeur violet que j’avais gardé tout au long de l’acte. J’ai remis ma jupe noire tandis que Charlène escortait Simon toujours nu dans la chambre. J’ai entendu de loin :

— Charlène, tu ne peux pas me faire ça… étouffé, en sanglots.
— Je suis désolée, mais oui, nous allons nous quitter ainsi.

Je ne savais trop quoi faire, seul, vêtu en Milly qui venait de se faire défoncer, encore ébaubi par la soirée. Charlène revenant d’un pas rapide dans le couloir avec un sac, Simon sur ses talons.

— Je t’avais mis en garde Simon, c’était notre dernière soirée !

Elle s’est retournée, l’a embrassé tendrement, Simon silencieux, acceptant son sort – que je ne comprenais pas du tout – et Charlène dans le même geste m’a fait signe de la main :

— Tu viens Milly ?

Je l’ai suivi à l’extérieur, j’aurais voulu courir comme une dernière fois, dépassé par la réalité, mais j’ai plutôt enlacé Charlène et d’un même pas, nous avons pris le chemin de mon ...