1. Les coulisses de la mission


    Datte: 06/02/2022, Catégories: fh, ff, hh, Collègues / Travail plage, Transexuels Oral hsodo, échange, policier, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... tour, a fait tourner Milly pour qu’elle soit fasse à Simon, toujours assis et astiquant son membre en nous matant. Charlène a baissé la fermeture éclair derrière Milly, la jupe est tombée, la dévoilant en tonga et en mes bas noirs. Milly haletait, caressée par des mains partout sur son corps, par le souffle de Charlène dans son cou, dans son dos, sur son bassin et doucement, cette dernière lui enlevait son slip. Pour l’aider, Milly s’est penchée de nouveau vers l’homme sur le canapé pour laper et happer ce sexe enflé.
    
    Simon avait remarqué le mien, avant que Milly ne s’incline devant lui : il avait de grands yeux surpris, mais la fellation prodiguée lui a tout fait oublier. Pendant ce temps, Charlène léchait Milly comme je l’aimais : Milly gigotait son cul, folle de cette langue autour et dans son œillet. Simon dirigeait désormais la pipe avec une main dans les cheveux de Milly, et celle-ci ouvrait sa gorge comme elle l’avait apprise à ses dépens au Felipa. Et c’est après dieu sait combien de temps que, suffocante, perdue, les sens en alerte, Milly s’est fait redresser et senti les seins de Charlène dans son dos, ses doigts dans son cul. Elle a laissé aller sa tête contre la poitrine de Charlène et celle-ci, tout en caressant son ventre sous le débardeur, a dit :
    
    — Viens, Simon. Elle est prête, elle est toute à toi…
    
    Milly avait les yeux fermés, presque déjà dans les vapes, profitait de l’agile doigté de Charlène avant que l’homme au membre large – peu importe qui il ...
    ... était, qu’il me prenne ! – prenne justement position, la taille fine de Milly entre ses deux mains, et ne la défonce comme une catin.
    
    Milly a émis un « Ooooh ! » long et langoureux lorsque Simon l’a pénétrée. Elle a ensuite couiné au rythme des coups rapides et forts de l’homme. Je crois que Milly avait les yeux révulsés, elle ne se tenait plus, elle était impuissante, complètement baisée, et c’est plus tard, le lendemain peut-être, parce que j’étais éreinté, parce que j’avais mal dans les épaules, que Milly s’est aperçue qu’elle avait les bras derrière elle, tenu aux poignets par les fermes menottes de Simon. Loin, mais toujours dans ce salon près du canapé, Milly entendait une discussion derrière ses propres gémissements. Une discussion entre Charlène et l’autre :
    
    — Tu la baises comme tu aimes être baisé, hein ?
    — Oh oui, et son cul est bon !
    — Et tu aimes la dominer aussi.
    — Oh oui, et elle aime ça !
    — Ah oui ? a demandé Charlène, curieuse, caressant la croupe de Milly, celle dont ils parlaient comme si elle n’était pas là.
    — Oui, allez, dis-le, dis-le, dis-le !
    
    À chaque « dis-le », Milly émettait un cri. Il n’était pas de douleur, il venait du fond de son être, du fond de la jouissance qu’elle éprouvait et en hochant la tête rapidement entre les coups, elle a extériorisé un :
    
    — Oui. Oui j’aime ça.
    — Dis-le que tu aimes ma bite !
    — J’aime ta bite, s’est-elle lamentée.
    — Où ?
    — J’aime ta bite dans mon cul ! a-t-elle poussé, parlant plus fort.
    
    L’homme ...