1. Dernier recrutement et espionnage


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, voyage, collection, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... de fil en aiguille, elle me raconta ses premières années de mariage, à Addis Abeba, premier poste de son pilote d’hélico de mari.
    
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    — La vie y était facile, en 66, avec une villa au bord de la mer et deux jeunes servantes heureuses de quitter leur tribu nomade pour gagner quelques dollars américains. Je me levais tard et puis, avec les femmes de militaires, on allait à la plage privée jusqu’au retour de nos époux. Il n’y avait pas de télévision satellite, aucun lieu de distraction correct et sûr… alors, on s’invitait le soir, entre couples. On buvait, on dansait, on flirtait et puis, les mains du copain s’égaraient sous votre jupe pendant que sa femme offrait une fellation à votre mari… Le cercle échangiste s’agrandissait, avec bains de minuit et fornication en groupe le samedi. Les épouses, pompettes, alignées à quatre pattes sur la plage, la croupe en l’air, tournée vers la lune, attendaient fébrilement le défilé des pénis qui s’enfilaient dans chacune d’entre elles, avant d’aller visiter le vagin voisin.
    
    Partouzes non stop chaque semaine, dans des flots de whisky. Et puis, quand les maris partent quelques jours en opération super secrète, on a peur, la copine vous fait essayer un pétard, un deuxième et c’est l’escalade irréversible. Mon argent de poche ne suffisait plus à payer l’herbe magique. Le dealer vous prend rendez-vous avec son patron, pour un arrangement financier mais on essaie de résister au manque.
    
    Un après-midi, alors que mon mari ...
    ... me croyait à la plage, complètement privée de crack depuis trois jours, j’ai accepté de monter dans la Mercedes. La pièce est sombre, une musique lancinante et répétitive envahit l’espace. Le propriétaire de la villa ne me présente pas les deux sexagénaires obèses qui fument le narguilé en sirotant du thé. Il m’invite à aspirer une bouffée de la pipe à eau, c’est du crack, du pur, je ferme les yeux, c’est le paradis.
    
    Au lieu de payer, pour avoir la permission de profiter encore du narguilé, le commerçant me propose de danser pour ses invités, mais en me débarrassant de mes vêtements. Les notables éthiopiens aiment beaucoup les femmes blondes surtout quand elles sont jeunes et pourvues de gros seins. Alors je danse, complètement nue, au son doux d’un chant égrené par une voix féminine aigüe. Les notables sont mécontents de ma prestation, ils se plaignent de mon manque de sensualité. Le propriétaire des lieux me fait l’aumône d’une mini bouffée et me relance sur la piste, en exigeant que je suive ses instructions. Mes ondulations deviennent obscènes, il me fait ouvrir les cuisses et exhiber ma chatte, de face, de dos. Je fais semblant d’être humiliée, ils sont contents.
    
    Pendant que je m’incline pour me saisir du tuyau de la pipe à eau, je sens des mains m’ouvrir les fesses et des doigts pénétrer dans mon anus mais je m’en fous, je fume. Le maître des lieux m’agite devant les yeux un petit sachet d’herbe. Il m’informe que ses deux invités seraient très heureux de me les ...
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