Séduction délicate de la soeur de ma mère (34)
Datte: 30/01/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... hum-hum... tu aimerais me mettre enceinte une seconde fois ? Parce que moi j’en ai très très envie. Me confia-t-elle en m’enlaçant le cou.
— Je t’aime, ça te va comme réponse ?
Ni une ni deux, elle ouvrit grand la bouche et sans se soucier de l’heure, elle me roula un patin fougueux, fiévreux et une fois fini, elle se retira péniblement. Nue, elle attrapa sa veste et me jeta un regard enjoué. A mon tour, je lui attrapai les jambes en la soulevant dans la foulée. Surprise, elle s’agrippa à moi et se blottit dans le creux de mon épaule.
— Minch’... tu me fais le grand jeu ! (elle me fit un bisou sur la joue) dis Patrick, tu ne vas pas me baiser de cette façon tous les soirs ! Je te préviens, j’arriverai pas à te suivre.
— Ah, revoilà ma victime préférée, t’as hurlé à la mort toute la soirée ! lui rétorquais-je.
— Oui bon... alors pas tous les soirs dans ce cas. Me souffla-t-elle en pouffant de rire.
En se couchant, elle se mit de côté et attrapa mon bras pour l’avoir contre son ventre dans un besoin de réconfort évident.
Nous ou plutôt moi, je venais de vivre deux soirées qualifiées d’inattendues. Véro m’avait tout bonnement épaté sur le plan sexuel. Elle s’était lâchée autant la première fois avec des circonstances atténuantes, autant la seconde avec un lâcher-prise déconcertant. Elle n’avait cessé de répéter le caractère exceptionnel de son premier acte et je ne me faisais guère d’illusions pour la suite. La priorité résidait dans le fait de la mettre ...
... enceinte et je comptais sur l’arrêt de sa pilule pour booster sa libido.
Concernant notre quotidien, nous avions emménagé depuis quelques mois et nous avions pris nos marques. Les garçons s’amusaient entre eux à imiter l’accent marseillais, ce à quoi je les avais mis en garde quant à ce jeu absurde, capable de froisser la fierté des gens du pays. Véro ne fumait plus et cela ne lui réussissait guère, elle s’emportait pour un rien. Avec mes cousins, nous faisions ainsi davantage attention dans nos faits et gestes. Les Langlois nous avaient invités une seconde fois, mais Véro avait décliné la soirée par un prétexte futile. Elle s’était imaginé que Béatrice, alias Madame Langlois, nous soupçonnait d’avoir entretenu un ébat improvisé dans sa buanderie. Réaliste, je lui avais rétorqué qu’elle ne nous aurait pas proposé une nouvelle invitation et qu’il lui fallait éviter de tomber dans la paranoïa.
Les semaines s’écoulaient et la date fatidique de l’anniversaire se rapprochait. Bien sûr, ma mère m’avait appelé tous les dimanches, s’efforçant de prononcer le prénom de sa sœur.
La dernière semaine précédant notre départ, elle se désola de me savoir le samedi soir chez ma grand-mère. Je lui signifiai que si elle avait accepté de voir sa sœur, nous serions venus coucher chez eux. Anne, enfin ma mère avait fait la sourde oreille à ma remarque et avait changé de sujet pour parler du cadeau à offrir à ma mamie. Après mûre réflexion, nous avions donc opté pour lui offrir un élégant ...