Les coulisses du tournage
Datte: 28/01/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
fsoumise,
hdomine,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
sm,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... je veux que tu agisses de cette manière.
Emma hoche la tête et comprend ce dont je suis en train de jouer :
— Oui…
Je continue :
— Chaque fois que je te nommerai « Emm », je veux que tu sois prête à tout.
Elle hoche la tête sans répondre.
— Est-ce que tu as compris ?
— Oui, dit-elle, avec une esquisse de sourire espiègle.
— Oui, qui ?
Déstabilisée par le ton de ma voix, elle cesse de me regarder et tente de remettre la bretelle de sa robe déchirée puis revient vers moi quelque peu troublée.
— Oui… maître ?
Je souris, lui tends la main pour qu’elle se relève :
— Non, Marwan, ça ira.
Son visage à mon niveau, je souris et l’embrasse en enlaçant sa taille.
— Tu veux boire quelque chose ?
Elle replace sa robe et illumine son visage par un sourire radieux.
— Volontiers !
Le tournage devait commencer quelques semaines après mon audition. N’ayant pas d’autres contrats alors, j’avais décidé de m’installer dans la Métropole, travailler avec les techniciens de la production, apprendre mon texte, m’installer dans cet appartement de la tour Élizabeth. Je suis retourné quelquefois au restaurant où j’avais remarqué une superbe jeune femme, au visage espiègle. La plupart du temps, c’est elle qui me servait, j’étais devenu un habitué de son service, je connaissais ses horaires de travail. Elle portait toujours des robes différentes qui avantageaient son corps bien fait. Chic sans être garce, sexy sans être pute. J’ai même rêvé d’elle, trois ...
... nuits de suite.
Ce qu’il y avait de difficile, toutefois, dans cette ville, c’étaient les paparazzis. Où que j’aille, il y avait un ou deux journalistes minimum qui me photographiaient, qui me questionnaient sur la préparation du tournage. J’étais oscarisé, j’ai quelques fois fait la une de magazines people ; sortant du restaurant, ou de la tour Élizabeth, hélant un taxi ou bien achetant des pommes, des flashes se déclenchaient et je me retrouvais sur des magazines en papier ciré aux comptoirs des supermarchés. C’était le seul bémol de ces mois de préproduction, parce que l’équipe était professionnelle. La date du début de tournage approchant, Lucas Goldmann, la co-vedette masculine du film, a débarqué en ville. J’ai retrouvé un vieil ami avec qui j’avais déjà joué.
Je jouais le desperado, le rebelle sans cause. Lucas jouait de chef des rebelles. Puis Alice Collard est arrivée dans la Métropole à son tour ; elle jouait la femme de Lucas. Dans le film, elle tombe amoureuse de moi. Moi, je tombe amoureux de Satya Beria, leur fille, jeune vedette montante dans le milieu du cinéma. Décidément, me disais-je, Olivier, mon ami scénariste du film, producteur en plus, ex-prisonnier, batailleur à ses heures, avait pu dénicher du pognon pour nous embaucher tous les quatre !
Lucas et Alice sont plus vieux que moi de cinq ou six ans. Alice est une grande femme brune, emplie desex appeal, de type grec, un visage aquilin, une chevelure de déesse, un corps solide. Ancienne mannequin en ...