Les coulisses du tournage
Datte: 28/01/2022,
Catégories:
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Oral
Partouze / Groupe
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Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... même temps que Claudia Schiffer, elle a régulièrement fait partie destop ten des plus belles femmes de l’heure.
Satya, quant à elle, récipiendaire du meilleur espoir féminin, était une bombe sexuelle incontrôlable de vingt-cinq ans. Des rumeurs sur sa consommation de drogue couraient. Elle s’était fait raser les cheveux pour le tournage et ses longs cils semblaient lui donner des ailes. Nous nous sommes retrouvés tous les quatre, Lucas, Alice, Satya et moi, à picoler une fois que nous étions enfin réunis.
Olivier, le copain scénariste aux épaules de catcheurs, m’a chuchoté à l’oreille :
— Je me suis bien organisé pour toi, Marwan. Tu as lu le scénario ? Tu as deux scènes de baise avec Alice, et une avec Satya. Je crois que tu aimeras ce tournage !
Je trouvais cela dangereux.
Malgré ces deux magnifiques femmes avec qui je jouerai des scènes lascives, malgré le fait que pour que marche une scène amoureuse, il doit y avoir de la complicité entre les acteurs, malgré le fait que Satya, lors de notre première soirée, m’a invité à passer la nuit chez elle (elle attaquait tôt !) et qu’Alice m’a invité plus subtilement à pratiquer « quelques scènes chez elle » aussi, je revenais toujours au restaurant manger des steaks-frites.
Il n’y en avait qu’une qui m’intéressait. Elle ne possédait aucun statut particulier, devait faire un travail simple pour gagner sa vie, était plus jeune que moi d’une quinzaine (ou vingtaine ?) d’années, mais elle avait un de ces culs, et ...
... un de ces sourires, qui me troublaient.
Les muscles de ses cuisses m’invitaient à parcourir tout son corps, aimantait mon regard, la bouchée de viande passait de travers lorsqu’elle se retournait vers moi alors qu’elle servait d’autres clients et qu’elle me surprenait à la reluquer sans vergogne. Elle me souriait, repoussait ses fins cheveux me laissant voir sa fine clavicule tatouée, me laissant avec un goût de miel tel la couleur de sa peau et de ses cheveux et elle partait vers la cuisine, roulant des hanches moulées dans une robe à déchirer. Je ne sais si elle faisait exprès, mais la démarche produisait l’effet escompté.
À la fin d’un repas, donc, j’ai glissé avec le paiement de l’addition, un petit mot. Mon numéro de téléphone, en fait. Au départ, j’avais eu l’intention de lui laisser 100 dollars de pourboire. Je me suis retenu, je ne voulais pas l’acheter. Elle n’était pas une prostituée. Cette belle serveuse blonde a pris le papier en même temps que le montant de la facture et le 15 % habituel de pourboire (c’est comme ça dans cette Province), l’a déplié et quand elle a regardé mon numéro de téléphone griffonné, peut-être a-t-elle souri ; j’étais déjà parti.
Elle s’appelle Emma et elle ondule des hanches sur mon membre. Je ne bouge pas, je la laisse faire, souriant intérieurement de la remarquer experte dans l’art du sexe. Je suis debout, Emma est sur le lit. Elle m’offre son corps et sa technique. À quatre pattes sur le bord du lit, elle se déhanche. De mes ...