1. Les coulisses du tournage


    Datte: 28/01/2022, Catégories: fh, hplusag, amour, fsoumise, hdomine, Oral Partouze / Groupe fsodo, jouet, sm, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... souvent, parlaient des femmes et des adolescentes en termes terriblement crus et vulgaires.
    
    — Tu ne peux pas savoir Marwan, comment je m’en veux d’avoir autant bu cette nuit-là, et d’avoir pris le volant après. La mort de cette famille, même si j’ai fait mon temps, je l’aurai toujours sur la conscience…
    — Je comprends. Tu disais que tu te battais souvent ?
    — Hé ! c’est fou ce que les taulards peuvent être misogynes. Dès qu’il y en avait un qui dénigrait une femme, dès qu’il en parlait comme si c’était un objet, je fermais le poing et je frappais. Je suis devenu violent en prison. Je me contrôle, il n’y a pas de problème, mais la rage me prend, des fois. Je peux dire que je suis un féministe.
    — Et tes enfants, tu les as revus ?
    — Oh oui, merci de demander, Marwan. Ils sont rendus vieux maintenant. Ils sont tellement beaux ! Et tu vois, je suis terriblement devenu protecteur. J’ai perdu seize ans de leur vie, alors je veux les protéger plus que tout ! Que personne ne les touche, parce que je ne sais pas comment je réagirais !
    
    En effet, je ne voulais causer aucun tort à Olivier. Prendre son poing en pleine figure m’obligerait à prendre une dizaine de séances de chirurgie plastique. On m’a donc donné le rôle et, avec le scénario sous le bras, j’ai été manger un steak-frite. J’y ai vu une serveuse.
    
    Elle s’appelle Emma et je la baise contre le mur. Elle porte encore une petite robe, mais elle est relevée et une bretelle est déchirée, laissant paraître un sein. Emma ...
    ... crie des homélies, bougeant par saccades, ses bras parfois autour de mon cou, parfois donnant des coups contre le mur. Elle est légère, et je la maintiens dans les airs, une main sous les fesses, l’autre sous la cuisse. Je prends son corps et son âme contre le mur, donnant des coups de bassins qui la font hurler, qui me font grogner, et je me sens au chaud dans son con ouvert, et elle se laisse complètement prendre. Elle ne touche pas le sol, elle m’a donné toute sa confiance pour que je la soutienne et alors que j’agrippe ses fesses de mes deux mains avec habileté, elle tend les jambes et tente de prendre un respire qui bloque.
    
    Je vais jouir moi aussi, je caresse une jambe puis en me retirant tranquillement, me vient une idée que rien ne retient. Je dis :
    
    — À genoux.
    
    Emma ne pose pas de question, ne réajuste pas sa robe, elle s’agenouille devant mon chibre qui n’attend que l’arrivée de son visage pour éjaculer. Emma ferme les yeux et ouvre la bouche par surprise et je gicle sur son front, puis sur ses lèvres, puis une dernière fois dans ses cheveux blonds. Elle respire à nouveau en se précipitant sur mon membre puis en levant la tête, mon sexe dans sa bouche, elle me regarde, puis me sourit en délaissant ma queue. Elle rit un peu, s’essuie le front du plat de sa main, lèche sa lèvre supérieure en s’asseyant plus confortablement les fesses sur les chevilles. Je reboutonne mon pantalon en la fixant d’un air sévère :
    
    — Chaque fois que je te dirai « À genoux ! », Emma, ...
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