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Dérapage pendant le confinement (1)
Datte: 27/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: justiciar, Source: Xstory
... Mon cœur a comme raté une marche et j’ai complètement paniqué. Je ne sais pas pourquoi, mais je n’ai pas retiré ma jambe. Comme si mon cerveau embrumé bloquait ce réflexe, pour ne pas paraitre bizarre ou que sais-je. Mon cœur s’est un peu calmé. Sa jambe était chaude et le contact était agréable. J’avais tellement besoin de contact humain que je me suis rassurée en imaginant qu’Alexis devait déjà dormir de toute façon. Je n’osais pas faire un geste. Je profitais de ce contact improbable de sa peau sur ma jambe qu’il me serait si facile et pourtant si douloureux de rompre. Soudain, j’ai senti la jambe d’Alexis remonter lentement contre la mienne. Mon cœur s’est à nouveau emballé. C’était sûr qu’il ne dormait pas et faisait ça exprès pour voir ma réaction ! Dans un monde normal, je lui aurais mis un petit coup de pied – mais plus rien n’était vraiment normal depuis mi-mars... Sa peau était si douce et si chaude contre ma jambe. Le frottement électrisant. Il s’est arrêté après quelques secondes qui ont paru une éternité. Une partie de moi fut soulagée, une autre frustrée. Une certaine tension sexuelle était clairement en train de monter, et je ne faisais rien pour l’empêcher. Antho dormait à moins d’un mètre de moi. Il me suffisait de me reculer contre lui pour tout arrêter. Je ne l’ai pas fait. Je ne voulais pas rompre ce contact qui, à ce moment, me paraissait encore innocent, celui de deux personnes alcoolisées en manque affectif. Depuis 1 an que je connaissais ...
... Alexis, je l’avais toujours considéré comme un ami asexué. On se taquinait sur nos relations amoureuses, des filles dormaient à l’appartement presque aussi souvent que moi. En vrai, son corps était objectivement attirant. Il était aussi grand qu’Antho et presque aussi musclé que lui. J’avais peur du froid et de la solitude de ce grand lit. Je me suis tournée lentement sur le côté, vers Alexis. Mon cœur voulait se rapprocher de cette chaleur dont j’avais un avant-goût sur ma cuisse. Je cherchais juste le contact humain. Après une éternité, mon corps a agi et j’ai eu l’impression de l’observer de l’extérieur. Je me suis rapproché subrepticement d’Alexis. Mon cœur battait à 200 à l’heure. Je ne voulais surtout pas alerter mon copain qui dormait derrière moi. Je restais immobile après chaque mini-déplacement, essayant de discerner la tête d’Alexis ; mais la nuit noire ne me permettait pas de distinguer son corps. Je ne pouvais me fier qu’à sa chaleur et sa respiration. À chaque millimètre, ma respiration devenait plus lourde et mon visage plus chaud et rouge. Heureusement au moins que la nuit me camouflait pour ça ! A un moment, j’ai entendu Alexis se déplacer doucement sous la couette lui aussi. C’était sûr désormais : il ne dormait pas non plus. Il s’est rapproché de quelques millimètres vers moi. Sa cuisse entière touchait maintenant la mienne. Le contact était si vibrant que je crois que l’ensemble de mon corps tremblait. On est resté un moment comme ça, à se fixer sans ...